"Nous avons documenté une tendance des forces ukrainiennes à mettre en danger les civils et à violer les lois de la guerre lorsqu'elles opèrent dans des zones peuplées", a affirmé ce jeudi la secrétaire générale d'@amnesty .

Selon l'#ONG de défense des droits humains @amnestyfrance, des militaires ukrainiens ont mis des civils en danger en établissant des bases militaires dans des écoles et des hôpitaux et en lançant des attaques depuis des zones peuplées en #Ukraine pour repousser l'invasion russe.

Des chercheurs d'#Amnesty ont enquêté entre avril et juillet dans les régions de #Kharkiv, du #Donbass et de #Mykolaïv. Ils auraient trouvé des preuves de lancement de frappes depuis des zones résidentielles peuplées ainsi que des bases dans des bâtiments civils. Des tactiques violant le droit international humanitaire, avertit l'ONG dans un communiqué.

Le président ukrainien Volodymyr #Zelensky a répondu à ces déclarations de manière véhémente, accusant #AmnestyInternational de vouloir "amnistier l'État terroriste" de #Russie en transférant "la responsabilité de l'agresseur à la victime".

"Le fait de se trouver dans une position de défense ne dispense pas l'armée ukrainienne de respecter le droit international humanitaire", a répondu l'ONG.

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