Les femmes invitées à se rendre plus visibles dans les instances de décision. (Franck YEO)
Présence dans les instances de décision : Les femmes invitées à se réinventer
Un atelier de restitution de la 6e édition du Forum international des femmes leaders tenu du 28 mai au 4 juin 2022, à Kigali, au Rwanda, a été organisé le jeudi 16 juin 2022, au cercle du Rail, à Abidjan-Plateau.
La présidente de la Coalition des organisations unies, Désirée Djomand, a noté que l’objectif de cet atelier est de partager les idées fortes du forum qui a été un franc succès. « Il est ressorti de ce forum que les femmes doivent se réinventer pour trouver de nouvelles stratégies pour occuper l’espace, pour être plus visibles dans les instances de décision et assemblées électives », a souligné Désirée Djomand.
Poursuivant, elle a indiqué que les femmes doivent mettre en place une plateforme dont le positionnement doit permettre de faire de la facilitation afin de faire avancer leur cause et surtout être des interlocutrices pour les gouvernants, les politiques, les partenaires afin que la femme prenne toute sa place dans la société.
Aussi, Désirée Djomand a rappelé qu’au cours de ce forum, la présidente de Women cocus Côte d’Ivoire, l'ex-ministre ivoirienne, Agnès Monnet, a été investie ainsi que la présidente panafricaine, la Rwandaise, Jeanne D’Arc Gakuba, ancienne présidente du Sénat rwandais. « Nous avons décidé de célébrer Agnès Monnet le 30 juillet 2022 et de la réinvestir ici à Abidjan autour de ses sœurs », a annoncé la présidente de la Coalition des organisations unies.
Désirée Djomand se dit émerveillée par l’organisation des femmes rwandaises et ce, grâce au Président Paul Kagamé qui a décidé de faire du genre un art de vivre au Rwanda. « Nous sommes sur la bonne voie, car très bientôt nous allons voir les fruits des nouvelles orientations que nous mettons en place avec le concours des unes et des autres », a-t-elle rassuré.
Quant à Agnès Monnet, elle a fait savoir que le choix du Rwanda pour la tenue du Forum international des femmes leaders n’est pas fortuit. « C’est le pays d’Afrique où la parité est une réalité. Au Parlement, vous avez 60% de femmes, au gouvernement 56%. Au niveau des collectivités, c’est un peu plus de 50% », a-t-elle déclaré.
Rappelons qu’à l’issue du forum, une déclaration dite de Kigali a été faite et qui invite, entre autres, les femmes à créer un environnement favorable au développement du leadership féminin, à promouvoir les droits fondamentaux des femmes et d'un plaidoyer auprès de nos gouvernants, politiques, institutions multilatérales et de l’Agence des Nations unies.
Poursuivant, elle a indiqué que les femmes doivent mettre en place une plateforme dont le positionnement doit permettre de faire de la facilitation afin de faire avancer leur cause et surtout être des interlocutrices pour les gouvernants, les politiques, les partenaires afin que la femme prenne toute sa place dans la société.
Aussi, Désirée Djomand a rappelé qu’au cours de ce forum, la présidente de Women cocus Côte d’Ivoire, l'ex-ministre ivoirienne, Agnès Monnet, a été investie ainsi que la présidente panafricaine, la Rwandaise, Jeanne D’Arc Gakuba, ancienne présidente du Sénat rwandais. « Nous avons décidé de célébrer Agnès Monnet le 30 juillet 2022 et de la réinvestir ici à Abidjan autour de ses sœurs », a annoncé la présidente de la Coalition des organisations unies.
Désirée Djomand se dit émerveillée par l’organisation des femmes rwandaises et ce, grâce au Président Paul Kagamé qui a décidé de faire du genre un art de vivre au Rwanda. « Nous sommes sur la bonne voie, car très bientôt nous allons voir les fruits des nouvelles orientations que nous mettons en place avec le concours des unes et des autres », a-t-elle rassuré.
Quant à Agnès Monnet, elle a fait savoir que le choix du Rwanda pour la tenue du Forum international des femmes leaders n’est pas fortuit. « C’est le pays d’Afrique où la parité est une réalité. Au Parlement, vous avez 60% de femmes, au gouvernement 56%. Au niveau des collectivités, c’est un peu plus de 50% », a-t-elle déclaré.
Rappelons qu’à l’issue du forum, une déclaration dite de Kigali a été faite et qui invite, entre autres, les femmes à créer un environnement favorable au développement du leadership féminin, à promouvoir les droits fondamentaux des femmes et d'un plaidoyer auprès de nos gouvernants, politiques, institutions multilatérales et de l’Agence des Nations unies.