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Assemblées annuelles de la Bad : le gouvernement ivoirien prévoit une croissance d’au moins 7% pour les années à venir
Le vice-Président ivoirien, M. Tiémoko Meyliet Koné, a indiqué le 24 mai 2022, à Accra au Ghana, que le gouvernement compte maintenir un taux de croissance économique d’au moins 7% pour les années à venir. Il s'exprimait à l'occasion d’un panel présidentiel à l'ouverture des Assemblées annuelles 2022 de la Banque africaine de développement (Bad).
M. Tiémoko Meyliet Koné a expliqué que cette croissance est le fruit de « toute la politique à la fois sociale et d’investissement qui a été entreprise dans le nouveau plan de développement ».
Parlant des effets pervers de la pandémie à coronavirus (Covid-19) sur l’économie, le vice-Président ivoirien a souligné le ralentissement des activités économiques et surtout certains secteurs comme le transport et l’hôtellerie ont vu leurs activités chuter drastiquement.
« Il a fallu les soutenir. L’Etat a fait un important effort pour que ces secteurs puissent passer la période difficile », a-t-il révélé. Avant d'indiquer que cela a été une bonne initiative. « Malgré la profondeur de la pandémie, la Côte d’Ivoire a terminé en 2020 avec un taux de croissance de 2% alors que dans beaucoup de pays, on était à des taux de croissances négatifs », a-t-il insisté.
Ainsi, selon lui, en 2021 avec tous les éléments qui ont été mis en place, notamment les plans de développement triennaux que la Côte d’Ivoire a mis en place, la croissance est repartie en 2021 à 7,1%.
Les financements de la Bad
Faisant le point de l'appui de la Bad, le numéro deux ivoirien a révélé que ce sont près de 1700 milliards d’unités de compte que la Bad a prêté à la Côte d’Ivoire entre 2012 et 2019. Il a expliqué que cela a permis de renforcer de façon importante les infrastructures dans le pays.
« Je ne donnerai pas de chiffre. Mais si vous passez aujourd’hui en Côte d’Ivoire et que vous circulez la nuit, vous verrez que pratiquement tous les villages, tous les hameaux sont éclairés. Même quand il n’y pas un monde extraordinaire », a-t-il indiqué. Avant d’affirmer que l’eau courante coule un peu partout.
« Ce sont des investissements sociaux très importants que le pays a pu faire avec l’aide de la Bad. Je terminerai par le programme social du Président que la Bad a soutenu qui aujourd’hui fait la fierté de beaucoup d’Ivoiriens », a-t-il conclu.
Parlant des effets pervers de la pandémie à coronavirus (Covid-19) sur l’économie, le vice-Président ivoirien a souligné le ralentissement des activités économiques et surtout certains secteurs comme le transport et l’hôtellerie ont vu leurs activités chuter drastiquement.
« Il a fallu les soutenir. L’Etat a fait un important effort pour que ces secteurs puissent passer la période difficile », a-t-il révélé. Avant d'indiquer que cela a été une bonne initiative. « Malgré la profondeur de la pandémie, la Côte d’Ivoire a terminé en 2020 avec un taux de croissance de 2% alors que dans beaucoup de pays, on était à des taux de croissances négatifs », a-t-il insisté.
Ainsi, selon lui, en 2021 avec tous les éléments qui ont été mis en place, notamment les plans de développement triennaux que la Côte d’Ivoire a mis en place, la croissance est repartie en 2021 à 7,1%.
Les financements de la Bad
Faisant le point de l'appui de la Bad, le numéro deux ivoirien a révélé que ce sont près de 1700 milliards d’unités de compte que la Bad a prêté à la Côte d’Ivoire entre 2012 et 2019. Il a expliqué que cela a permis de renforcer de façon importante les infrastructures dans le pays.
« Je ne donnerai pas de chiffre. Mais si vous passez aujourd’hui en Côte d’Ivoire et que vous circulez la nuit, vous verrez que pratiquement tous les villages, tous les hameaux sont éclairés. Même quand il n’y pas un monde extraordinaire », a-t-il indiqué. Avant d’affirmer que l’eau courante coule un peu partout.
« Ce sont des investissements sociaux très importants que le pays a pu faire avec l’aide de la Bad. Je terminerai par le programme social du Président que la Bad a soutenu qui aujourd’hui fait la fierté de beaucoup d’Ivoiriens », a-t-il conclu.