BAD : Les Assemblées annuelles s’ouvrent en présence du vice-Président ivoirien

Le président de la Bad, Akinwumi Adesina, était entouré à la table de séance par les présidents du Ghana, Nana Akufo-Addo, du Mozambique, Filipe Nyusi et de la Tanzanie, Mme Samia Suluhu Hassan. (Ph: Dr)
Le président de la Bad, Akinwumi Adesina, était entouré à la table de séance par les présidents du Ghana, Nana Akufo-Addo, du Mozambique, Filipe Nyusi et de la Tanzanie, Mme Samia Suluhu Hassan. (Ph: Dr)
Le président de la Bad, Akinwumi Adesina, était entouré à la table de séance par les présidents du Ghana, Nana Akufo-Addo, du Mozambique, Filipe Nyusi et de la Tanzanie, Mme Samia Suluhu Hassan. (Ph: Dr)

BAD : Les Assemblées annuelles s’ouvrent en présence du vice-Président ivoirien

Le 24/05/22 à 15:31
modifié 24/05/22 à 15:31
Les Assemblées annuelles de la Banque africaine de développement (Bad) se sont ouvertes officiellement ce mardi 24 mai 2022, à Accra au Ghana, en présence du vice-Président ivoirien, M. Tiémoko Meyliet Koné. Il représentait le Président ivoirien, Alassane Ouattara.

Pour la reprise en présentiel de cet évènement, après deux ans en visioconférence, en raison de la pandémie de Covid-19, le président de la Bad, Akinwumi Adesina, était entouré à la table de séance par les Présidents du Ghana, Nana Akufo-Addo, du Mozambique, Filipe Nyusi et de la Tanzanie, Mme Samia Suluhu Hassan.

Selon le secrétaire général de l’institution financière régionale, M. Vincent Nmehielle, ce sont environ 3 000 délégués qui sont à Acrra. Et qui, pendant quatre jours, vont échanger sur le thème : « Favoriser la résilience climatique et une transition énergétique juste pour l’Afrique ».

Les Assemblées annuelles permettent à la Banque de faire le point avec ses actionnaires sur les progrès réalisés au cours de l’année écoulée. « Elles constituent un forum unique d’échange sur des questions clés concernant le développement de l'Afrique pour les représentants des gouvernements, des entreprises, de la société civile, des groupes de réflexion, des universités et des médias », a-t-il insisté.

Les 54 pays membres régionaux et 27 membres non régionaux vont aussi discuter de la nature du soutien attendu de la part des partenaires mondiaux du développement, ainsi que du coût estimé du renforcement de la résilience et de la transition énergétique juste pour leurs économies.



Le 24/05/22 à 15:31
modifié 24/05/22 à 15:31