L’atelier a été organisé conjointement par le ministère de la Réconciliation, le Grand Médiateur de la République et le Coordinateur résident du Système des Nations unies. (Ph: Dr)
L’atelier a été organisé conjointement par le ministère de la Réconciliation, le Grand Médiateur de la République et le Coordinateur résident du Système des Nations unies. (Ph: Dr)
Réconciliation/Kouadio Konan Bertin: ‘‘Nous faisons des pas de géant sous le leadership du Président Ouattara’’
Le ministère de la Réconciliation et de la Cohésion nationale s’est penché sur le partage d’expériences, de recueil de contributions sur la cohésion sociale en Côte d’Ivoire.
Le ministre Kouadio Konan Bertin salue le travail abattu par le Chef de l’État en matière de réconciliation et de cohésion sociale. « Sous son leadership, nous faisons des pas de géant dans notre volonté commune de vivre ensemble, de vivre en symbiose, de vivre les uns pour les autres », a-t-il indiqué le jeudi 12 mai 2022, au cours d’un atelier organisé conjointement par son département, le Grand Médiateur de la République et le Coordinateur résident du Système des Nations unies en Côte d’Ivoire.
A noter que cet atelier a vu également la participation de Myss Belmonde Dogo, ministre de la Solidarité et de la Lutte contre la pauvreté.
Kouadio Konan Bertin s’est réjoui, par ailleurs, du fait que « la paix soit de retour en Côte d’Ivoire ». Pour lui, cet atelier de « partage d’expériences, de recueil de contributions et de leçons apprises sur la cohésion sociale » qui se tient à Abidjan arrive à point nommé, dans la mesure où, l’ambition de la Côte d’Ivoire « est si grande » qu’il « faut sans cesse viser haut, plus haut encore ».
Il explique que pour réussir sa mission, son ministère se doit d’être plus exigeant, en allant « chercher au plus profond de notre âme ce que nous avons de meilleur ».
A en croire le ministre de la Réconciliation et de la cohésion nationale, il faut mettre tout en œuvre pour que la paix qui a « besoin d’être sédimentée dans le corps social » soit davantage consolidée au sein des populations. Question de faire en sorte que ce processus soit transmis aux futures générations. Et que, plus que jamais, elle se « couvre du manteau sacré qui résistera pendant des siècles et des siècles ».
Il estime, en outre, que si le processus qui conduit à la paix et à la réconciliation est bien engagé, la cohésion sociale doit être l’étape suivante « l’autre nom de la lutte contre les exclusions, les discriminations et cette bienveillance qui restitue à chacun sa place, toute sa place, dans l’humanité ».
Pour sa part, pour une réconciliation forte et résiliente, le coordonnateur du Système des Nations unies, Philippe Poinceau, a parlé de l’engagement et de la nécessité pour la structure qu’il représente d’apporter une assistance aux peuples de la Côte d’Ivoire en particulier, mais aussi aux Africains, d’une manière générale.
Pour lui, la réconciliation et la paix passent notamment par la gestion efficace du foncier, ainsi que par la quête permanente des solutions qui minent le vivre-ensemble.
Kouadio Konan Bertin s’est réjoui, par ailleurs, du fait que « la paix soit de retour en Côte d’Ivoire ». Pour lui, cet atelier de « partage d’expériences, de recueil de contributions et de leçons apprises sur la cohésion sociale » qui se tient à Abidjan arrive à point nommé, dans la mesure où, l’ambition de la Côte d’Ivoire « est si grande » qu’il « faut sans cesse viser haut, plus haut encore ».
Il explique que pour réussir sa mission, son ministère se doit d’être plus exigeant, en allant « chercher au plus profond de notre âme ce que nous avons de meilleur ».
A en croire le ministre de la Réconciliation et de la cohésion nationale, il faut mettre tout en œuvre pour que la paix qui a « besoin d’être sédimentée dans le corps social » soit davantage consolidée au sein des populations. Question de faire en sorte que ce processus soit transmis aux futures générations. Et que, plus que jamais, elle se « couvre du manteau sacré qui résistera pendant des siècles et des siècles ».
Il estime, en outre, que si le processus qui conduit à la paix et à la réconciliation est bien engagé, la cohésion sociale doit être l’étape suivante « l’autre nom de la lutte contre les exclusions, les discriminations et cette bienveillance qui restitue à chacun sa place, toute sa place, dans l’humanité ».
Pour sa part, pour une réconciliation forte et résiliente, le coordonnateur du Système des Nations unies, Philippe Poinceau, a parlé de l’engagement et de la nécessité pour la structure qu’il représente d’apporter une assistance aux peuples de la Côte d’Ivoire en particulier, mais aussi aux Africains, d’une manière générale.
Pour lui, la réconciliation et la paix passent notamment par la gestion efficace du foncier, ainsi que par la quête permanente des solutions qui minent le vivre-ensemble.