Les membres de l’Afemaeci et leurs hôtes ont immortalisé l’Ago. (Ph: Dr)
Insécurité routière : Les monitrices et directrices d’auto-écoles engagent la lutte
L'Association des femmes monitrices d’auto écoles de Côte d’Ivoire, (Afemaeci), lors d’une Assemblé générale ordinaire (Ageo), tenue le jeudi 31 mars, au Plateau, s’est engagée à réduire le taux d’accidents sur les routes.
A l’occasion de cette rencontre qui a eu pour thème ‘’femmes engagées pour une formation de qualité, gage d’une prévention contre l’insécurité routière’’, Coné Diomand, directeur de cabinet du ministre des Transports, représentant le ministre des Transports, Amadou Koné, a appelé à l’implication de tous les acteurs de la route pour la réduction des accidents de la circulation.
« La vie a un sens, la vie a un prix. Il ne faut pas la gaspiller. Trop de décès sur nos routes, il faut qu’on arrête un peu l’hémorragie. Aujourd’hui monsieur le ministre me charge de vous dire qu’il est totalement en phase avec les femmes monitrices et directrice d’auto écoles », a-t-il confié. Ajoutant que le thème choisi par l'Afemaeci pour cette deuxième Ago rentre dans la droite ligne des objectifs que s’est fixé son ministère. Celui d'arriver à une tolérance zéro des accidents de la circulation.
« C’est peut-être utopique mais on peut y parvenir si tout le monde met du sien », a-t-il assuré. Car pour lui, malgré la prise de textes, si dans l’application, les moniteurs et directeurs d’auto-écoles ne sont pas capables, en amont, de passer le message aux apprenants, il y aura toujours autant d'accidents sur la voie. « La seule chose qu’on vous demande, c'est de bien enseigner le code de la route », a-t-il insisté.
Par ailleurs le directeur de cabinet a invité les acteurs du secteur à se pencher vers la digitalisation et de faire de l’éducation routière leur crédo. « Mettez-vous dans la dynamique de la modernisation de vos auto-écoles, cela va nous permettre de prendre de meilleures décisions pour le bien-être de tous. Il y a trop d’incivisme sur nos routes, trop de morts. Il faut qu’on arrête l’hémorragie », a-t-il préconisé.
Quant à Sylla Belba, réélue présidente de l’Afemaeci pour un autre mandat de cinq ans, elle a dressé le bilan des actions menées par l’association à travers le pays. Notamment des campagnes de sensibilisation. C’est dans cette dynamique qu’elle s’engage à nouveau, avec son équipe, à accompagner l’Etat dans sa politique de réduction du taux d’accident sur la route.
Pour sa part, président de l’Union nationale des auto-écoles de Côte d’Ivoire, Koko Guillaume, a exhorté ces femmes à une formation plus accrue.
« La vie a un sens, la vie a un prix. Il ne faut pas la gaspiller. Trop de décès sur nos routes, il faut qu’on arrête un peu l’hémorragie. Aujourd’hui monsieur le ministre me charge de vous dire qu’il est totalement en phase avec les femmes monitrices et directrice d’auto écoles », a-t-il confié. Ajoutant que le thème choisi par l'Afemaeci pour cette deuxième Ago rentre dans la droite ligne des objectifs que s’est fixé son ministère. Celui d'arriver à une tolérance zéro des accidents de la circulation.
« C’est peut-être utopique mais on peut y parvenir si tout le monde met du sien », a-t-il assuré. Car pour lui, malgré la prise de textes, si dans l’application, les moniteurs et directeurs d’auto-écoles ne sont pas capables, en amont, de passer le message aux apprenants, il y aura toujours autant d'accidents sur la voie. « La seule chose qu’on vous demande, c'est de bien enseigner le code de la route », a-t-il insisté.
Par ailleurs le directeur de cabinet a invité les acteurs du secteur à se pencher vers la digitalisation et de faire de l’éducation routière leur crédo. « Mettez-vous dans la dynamique de la modernisation de vos auto-écoles, cela va nous permettre de prendre de meilleures décisions pour le bien-être de tous. Il y a trop d’incivisme sur nos routes, trop de morts. Il faut qu’on arrête l’hémorragie », a-t-il préconisé.
Quant à Sylla Belba, réélue présidente de l’Afemaeci pour un autre mandat de cinq ans, elle a dressé le bilan des actions menées par l’association à travers le pays. Notamment des campagnes de sensibilisation. C’est dans cette dynamique qu’elle s’engage à nouveau, avec son équipe, à accompagner l’Etat dans sa politique de réduction du taux d’accident sur la route.
Pour sa part, président de l’Union nationale des auto-écoles de Côte d’Ivoire, Koko Guillaume, a exhorté ces femmes à une formation plus accrue.