Paix sociale : Les solutions concrètes d’une association

Le président de Enya, Ghislain Romeo Aboli, a décliné les actions sociales et politiques à mener à plusieurs niveaux pour parvenir à la paix sociale. (Ph: Dr)
Le président de Enya, Ghislain Romeo Aboli, a décliné les actions sociales et politiques à mener à plusieurs niveaux pour parvenir à la paix sociale. (Ph: Dr)
Le président de Enya, Ghislain Romeo Aboli, a décliné les actions sociales et politiques à mener à plusieurs niveaux pour parvenir à la paix sociale. (Ph: Dr)

Paix sociale : Les solutions concrètes d’une association

Le 24/02/22 à 12:00
modifié 24/02/22 à 12:00
‘’Ensemble nous y arriverons’’ (Enya) est une association qui souhaite éveiller la conscience commune en proposant des solutions concrètes pour que chacun à son échelle, puisse participer à la construction de la paix sociale.

À l’occasion d’une rencontre avec la presse, le mercredi 23 février 2022, à Abidjan-Plateau, le président de Enya, Ghislain Romeo Aboli, a décliné les actions sociales et politiques à mener à plusieurs niveaux pour parvenir à la paix sociale.

Il s’agit d’abord, selon lui, d’encourager la transmission et l’enseignement de valeurs dès le plus jeune âge. Ensuite, créer des conditions d’émergence culturelles, économiques, scientifiques et sociales. Puis de participer à l’apaisement du climat social, notamment en facilitant l’échange de connaissances et de compétences entre les peuples du monde.

Enfin de mener toute réflexion et toute action de nature à assurer une meilleure cohésion générale. « Il est totalement contre-productif de perdre son temps à chercher des coupables à blâmer ! Avec Enya, nous voulons promouvoir une dynamique positive en proposant des pistes pour vivre dans une société inclusive et apaisée », a déclaré Ghislain Romeo Aboli, ancien candidat à la présidentielle de 2020.

Enya prône également la diversité, les échanges et l’enrichissement mutuel. C’est pour cela qu’au sein de l’association, tous les membres sont libres de s’exprimer car chaque voix compte. M. Aboli souhaite que l’aide apportée aux pays en développement soit assortie d’outils pour accompagner aussi les pays aidés vers l’exploitation de leurs propres ressources. Il conseille aux Africains un retour aux valeurs ancestrales.


Le 24/02/22 à 12:00
modifié 24/02/22 à 12:00