Paris toujours sous haute surveillance






Samedi, les forces de l’ordre ont dû intervenir jusque tard dans la nuit pour disperser les derniers membres des « convois de la liberté » encore présents dans le quartier des Champs-Élysées.
Samedi, les forces de l’ordre ont dû intervenir jusque tard dans la nuit pour disperser les derniers membres des « convois de la liberté » encore présents dans le quartier des Champs-Élysées.
Samedi, les forces de l’ordre ont dû intervenir jusque tard dans la nuit pour disperser les derniers membres des « convois de la liberté » encore présents dans le quartier des Champs-Élysées.

Paris toujours sous haute surveillance

Les forces de l’ordre se tenaient prêtes jusqu’à hier soir au cas où les autoproclamés « convois de la liberté » tenteraient à nouveau de manifester dans les rues de la capitale. Samedi, ils n’ont pas réussi à bloquer Paris, mais ont perturbé la circulation à plusieurs reprises, notamment place de l’Étoile. Environ 7 500 gendarmes et policiers ont été déployés hier dans les rues de Paris et aux abords de la capitale. Samedi, les forces de l’ordre ont dû intervenir jusque tard dans la nuit pour disperser les derniers membres des « convois de la liberté » encore présents dans le quartier des Champs-Élysées et dans le bois de Boulogne.

Au total, sur la journée de samedi, plus de 500 manifestants ont écopé d’amendes et une petite centaine a été arrêtée. Tôt hier matin, 81 personnes étaient toujours en garde à vue.

Comme samedi, le programme des « convois de la liberté » pour ce dimanche est flou. Faute de meneurs, ce rassemblement hétéroclite aux multiples revendications a eu du mal à s’organiser.

Certains aimeraient tenter de nouvelles actions dans Paris quand d’autres ont déjà repris la route, direction Bruxelles, où doivent également arriver d’autres convois partis de plusieurs pays européens. Un grand rassemblement est prévu, aujourd’hui, dans la capitale belge. Mais comme à Paris, les autorités ont interdit l’accès à la ville. Enfin, un troisième groupe se demande s’il ne serait pas plus judicieux de se rendre à Strasbourg où se réunira à partir d’aujourd’hui aussi le Parlement européen.

RFI