Développement économique et social / Vision Côte d’Ivoire 2030: Les 3 chambres consulaires nationales veulent renforcer leur impact

De gauche à droite, le président de la Chambre nationale de l’agriculture, Bamba Sindou; ceux de la Cci-CI, Faman Touré et de la Chambre des métiers, Bamba Kassoum. (Dr)
De gauche à droite, le président de la Chambre nationale de l’agriculture, Bamba Sindou; ceux de la Cci-CI, Faman Touré et de la Chambre des métiers, Bamba Kassoum. (Dr)
De gauche à droite, le président de la Chambre nationale de l’agriculture, Bamba Sindou; ceux de la Cci-CI, Faman Touré et de la Chambre des métiers, Bamba Kassoum. (Dr)

Développement économique et social / Vision Côte d’Ivoire 2030: Les 3 chambres consulaires nationales veulent renforcer leur impact

Le 31/01/22 à 17:11
modifié 01/02/22 à 06:24
La Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-CI), la Chambre nationale d’agriculture de Côte d’Ivoire et la Chambre nationale des métiers de Côte d’Ivoire veulent renforcer leur impact, de manière synergique, dans le développement socio-économique de la Côte d’Ivoire.
Elles prévoient d’organiser, à cet effet, un séminaire de réflexion, fin mars, à Yamoussoukro.
L’organisation de cet atelier a été annoncée, le 28 janvier, au cours d’une conférence de presse, au siège de la Cci-CI, au Plateau, par les présidents de ces trois institutions consulaires. Le thème sera : « Vision Côte d’Ivoire 2030 du Chef de l’État : quelle contribution des chambres consulaires nationales ? »
A en croire Faman Touré, président de la Cci-CI, président de la plateforme des chambres consulaires, ce séminaire dont les dates précises seront communiquées les prochains jours sera l’occasion de faire un diagnostic clair de la position institutionnelle des chambres consulaires nationales dans le paysage économique ivoirien et de réfléchir à une position commune de repositionnement.
Selon lui, ces assises permettront aussi de réfléchir aux stratégies pour mieux accompagner le gouvernement dans la mise en œuvre de la Vision Côte d’Ivoire 2030, mais aussi et surtout sur la problématique du financement des chambres consulaires nationales. « Nous voulons aller au bout de nos missions, mais nous devons être compris. Le système de financement actuel de ces chambres doit être revu, il nous faut des sources de financement pérennes », a indiqué Faman Touré.
Pour leur part, Bamba Sindou et Bamba Kassoum, respectivement présidents de la Chambre nationale de l’agriculture et de celle des métiers, ont souligné que les trois chambres consulaires nationales sont aujourd’hui confrontées à un réel problème de financement qui les empêche de jouer pleinement le rôle pour lequel elles existent.
Le 31/01/22 à 17:11
modifié 01/02/22 à 06:24