Projet de "Protection de la biodiversité du Parc national de la Comoé": L’Oipr valide le plan d'opération 2022

Les membres de l’équipe de pilotage du projet ‘’Protection de la biodiversité du Parc national de la Comoé’’ se sont réunis à la Direction générale de l’Oipr à Abidjan. (DR)
Les membres de l’équipe de pilotage du projet ‘’Protection de la biodiversité du Parc national de la Comoé’’ se sont réunis à la Direction générale de l’Oipr à Abidjan. (DR)
Les membres de l’équipe de pilotage du projet ‘’Protection de la biodiversité du Parc national de la Comoé’’ se sont réunis à la Direction générale de l’Oipr à Abidjan. (DR)

Projet de "Protection de la biodiversité du Parc national de la Comoé": L’Oipr valide le plan d'opération 2022

Le 12/01/22 à 16:59
modifié 12/01/22 à 16:59
L’équipe de pilotage du projet ‘’Protection de la biodiversité du Parc national de la Comoé’’, mise sur pied par l’Office ivoirien des parcs et réserves (Oipr), s’est réunie le 7 janvier, au siège de sa direction générale aux Deux-Plateaux.

L’objectif de cette réunion présidée par le général Tondossama Adama, directeur général de l’Oipr et coordonnateur général du projet, était de valider les perspectives d’activités et le plan d’opérations de 2022.

Le Dg de l’Oipr a profité de cette rencontre pour réitérer l’engagement de sa structure à assurer une gestion efficiente des aires protégées placées sous sa tutelle, en associant surtout les communautés riveraines et des partenaires publics et privés locaux.

Financé par la République fédérale d'Allemagne, ce projet dont la mise en œuvre s’étend sur la période 2021-2024, vise trois objectifs : la couverture des besoins en investissements pour une gestion efficace et durable du Pnc et des zones de biodiversité ; l’amélioration des conditions de vie des populations riveraines et le renforcement des équipements et des compétences de la Direction de zone nord-est de l’Oipr.

Rappelons que le Parc national de la Comoé, grand d’une superficie de 1 148 756 ha, a été classé en réserve de biosphère en 1982 et mis sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en 1983. Par la suite, ce joyau naturel a connu dans les années 2000 une décadence causée essentiellement par la crise politico-militaire, le mettant ainsi en péril à cause des activités de braconnage, du surpâturage par les grands troupeaux de bétail et de l'absence de mécanismes de gestion.

Après la crise socio-politique avec la prise en main effective des activités de gestion, il a été retiré de la liste du patrimoine mondial de l’Unesco en péril en 2017.


Le 12/01/22 à 16:59
modifié 12/01/22 à 16:59