Les forces spéciales de Côte d'Ivoire
Lutte contre le terrorisme: La vérité sur l’attaque de Téhini
Une embuscade parfaitement contrée par les Forces armées de Côte d’Ivoire à Téhini, le 3 janvier 202, s’est grossièrement transformée en attaque meurtrière sur les réseaux sociaux.
Les fake news ont envahi, le 9 janvier 2021, les réseaux sociaux.
Les posts rivalisaient en gravité mais toujours avec la même constance : diffusion de fausses informations. « Attaques terroristes àTéhini dans le nord de la Côte d’Ivoire. Des morts du côté de nos Forces de défense et de sécurité. » « Urgent. Armée de Côte d’Ivoire. Téhini, plusieurs soldats ivoiriens tués et blessés, signalés dans un accrochage avec des terroristes ». « Massacre de l’armée ivoirienne dans une attaque à Téhini dans le nord ». D’attaque, il y en a effectivement eu, le 3 janvier dernier. Plus exactement une embuscade majestueusement gérée par les Forces armées ivoiriennes.
Ce qui s’est réellement passé à Téhini
Lundi 3 janvier. Le soleil est au zénith en cette période de fort harmattan au nord de la Côte d’Ivoire. Des détachements de l’armée ivoirienne sont en patrouille dans toute la zone frontalière avec le Mali et le Burkina Faso. Dans le département de Téhini, les soldats ivoiriens du détachement de Togolokaye vont essuyer des tirs d’hommes armés embusqués dans la broussaille. Les assaillants pensaient réussir le coup parfait de l’attaque surprise.
Ils ne savaient pas qu’on ne surprend pas les hommes du Général Lassina Doumbia.
Formés à la vigilance parfaite et à la prompte réaction. Les assaillants qui étaient embusqués à huit kilomètres de Téhini, entre les localités de Mossibougou et Dantou, vont découvrir le professionnalisme, la détermination et la puissance de feu des soldats ivoiriens. Avant même l’arrivée de tout renfort, ils avaient abandonné le théâtre des opérations.
Abandonnant armes, munitions et matériels de communication. L’armée ivoirienne ne leur avait pas laissé le temps de préparer leur retraite.
C’est la réalité des faits telle que présentée. Cependant, de fausses informations vont être diffusées sur les réseaux sociaux une semaine plus tard avec des énormités. Des bilans erronés.
L’opportunité de la communication
Un principe est clair : la communication relative aux opérations militaires en cours est du seul ressort de l’état-major général des Armées. Qui en évalue l’opportunité et mesure la portée.
Cette opportunité de communication est mise en veilleuse lorsque des soldats laissent leur vie dans une attaque.
Dans le cas de militaires tombés au front, l’état-major général des Armées produit aussitôt un communiqué indiquant clairement les pertes.
Mais lorsque l’intervention des Faci est couronnée de succès, l’état-major général des Armées se concentre d’abord sur les ratissages et surtout l’analyse minutieuse des saisis, notamment du matériel de communication.
L’autre raison est que les victoires, l’armée ivoirienne qui en est habituée, n’en fait pas forcément la promotion. La grande muette, c’est surtout la concentration sur ses objectifs.
Une armée sérieuse comme celle dirigée par le Général Lassina Doumbia, commando, membre des Forces spéciales, accorde plus d’importance à la collecte d’informations et donc à la minutieuse analyse des éléments saisis sur l’ennemi.
D’où l’absence de communiqués sur les nombreuses sorties à succès des Forces armées ivoiriennes.
Ce qui s’est réellement passé à Téhini
Lundi 3 janvier. Le soleil est au zénith en cette période de fort harmattan au nord de la Côte d’Ivoire. Des détachements de l’armée ivoirienne sont en patrouille dans toute la zone frontalière avec le Mali et le Burkina Faso. Dans le département de Téhini, les soldats ivoiriens du détachement de Togolokaye vont essuyer des tirs d’hommes armés embusqués dans la broussaille. Les assaillants pensaient réussir le coup parfait de l’attaque surprise.
Ils ne savaient pas qu’on ne surprend pas les hommes du Général Lassina Doumbia.
Formés à la vigilance parfaite et à la prompte réaction. Les assaillants qui étaient embusqués à huit kilomètres de Téhini, entre les localités de Mossibougou et Dantou, vont découvrir le professionnalisme, la détermination et la puissance de feu des soldats ivoiriens. Avant même l’arrivée de tout renfort, ils avaient abandonné le théâtre des opérations.
Abandonnant armes, munitions et matériels de communication. L’armée ivoirienne ne leur avait pas laissé le temps de préparer leur retraite.
C’est la réalité des faits telle que présentée. Cependant, de fausses informations vont être diffusées sur les réseaux sociaux une semaine plus tard avec des énormités. Des bilans erronés.
L’opportunité de la communication
Un principe est clair : la communication relative aux opérations militaires en cours est du seul ressort de l’état-major général des Armées. Qui en évalue l’opportunité et mesure la portée.
Cette opportunité de communication est mise en veilleuse lorsque des soldats laissent leur vie dans une attaque.
Dans le cas de militaires tombés au front, l’état-major général des Armées produit aussitôt un communiqué indiquant clairement les pertes.
Mais lorsque l’intervention des Faci est couronnée de succès, l’état-major général des Armées se concentre d’abord sur les ratissages et surtout l’analyse minutieuse des saisis, notamment du matériel de communication.
L’autre raison est que les victoires, l’armée ivoirienne qui en est habituée, n’en fait pas forcément la promotion. La grande muette, c’est surtout la concentration sur ses objectifs.
Une armée sérieuse comme celle dirigée par le Général Lassina Doumbia, commando, membre des Forces spéciales, accorde plus d’importance à la collecte d’informations et donc à la minutieuse analyse des éléments saisis sur l’ennemi.
D’où l’absence de communiqués sur les nombreuses sorties à succès des Forces armées ivoiriennes.

Fac-similé du communiqué