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AstraZeneca Covid-19 : Une étude de l'Université d'Oxford soutient l'utilisation du vaccin contre Omicron
Une étude en laboratoire de l'Université d'Oxford a évalué la neutralisation d'Omicron par un large panel de sérums collectés auprès de personnes convalescentes infectées par la pandémie précoce, Alpha, Beta, Gamma et Delta, ainsi qu'auprès de personnes ayant reçu trois doses du vaccin AstraZeneca Covid-19 ou du vaccin Pfizer BioNtech (Bnt162b2).
Au total, les échantillons analysés provenaient de 41 individus ayant reçu trois doses de Vaxzevria et de 20 individus ayant reçu trois doses de vaccin Pfizer BioNtech (Bnt162b2). Selon les conclusions de cette étude, le vaccin AstraZeneca Covid-19 (Chadox1-S) a considérablement augmenté les niveaux d'anticorps contre le variant Omicron du Sras-Co 2 (B.1.1.529) après une troisième dose de rappel. Les niveaux étaient largement similaires aux niveaux obtenus après deux doses contre le variant Delta.
Les sérums obtenus des individus un mois après avoir reçu la troisième dose de rappel ont neutralisé le variant Omicron à des niveaux largement similaires à ceux observés un mois après la deuxième dose contre le variant Delta.
"Il est très encourageant de constater que les vaccins actuels ont le potentiel de protéger contre Omicron après une troisième dose de rappel. Ces résultats soutiennent l'utilisation de la troisième dose de rappel dans le cadre des stratégies nationales de vaccination, notamment pour limiter la propagation des variants préoccupants, dont Omicron", a indiqué le Professeur Sir John Bell, Professeur Regius de médecine à l'Université d'Oxford (Royaume-Uni) et l'un des investigateurs de l'étude.
Cette vision est également partagée par Sir Mene Pangalos, Vice-Président Exécutif, R&D BioPharmaceutique, AstraZeneca : "Le vaccin AstraZeneca COVID-19 joue un rôle important dans les programmes de vaccination du monde entier et ces données nous confortent dans l'idée que le vaccin doit être administré en tant que troisième dose de rappel. Il est également important de regarder au-delà des anticorps pour mieux comprendre comment les vaccins offrent une protection contre Omicron. Au fur et à mesure que nous comprenons mieux Omicron, nous pensons que nous découvrirons que la réponse des cellules T offre une protection durable contre la maladie grave et les hospitalisations", a-t-il affirmé.
Les sérums obtenus des individus un mois après avoir reçu la troisième dose de rappel ont neutralisé le variant Omicron à des niveaux largement similaires à ceux observés un mois après la deuxième dose contre le variant Delta.
"Il est très encourageant de constater que les vaccins actuels ont le potentiel de protéger contre Omicron après une troisième dose de rappel. Ces résultats soutiennent l'utilisation de la troisième dose de rappel dans le cadre des stratégies nationales de vaccination, notamment pour limiter la propagation des variants préoccupants, dont Omicron", a indiqué le Professeur Sir John Bell, Professeur Regius de médecine à l'Université d'Oxford (Royaume-Uni) et l'un des investigateurs de l'étude.
Cette vision est également partagée par Sir Mene Pangalos, Vice-Président Exécutif, R&D BioPharmaceutique, AstraZeneca : "Le vaccin AstraZeneca COVID-19 joue un rôle important dans les programmes de vaccination du monde entier et ces données nous confortent dans l'idée que le vaccin doit être administré en tant que troisième dose de rappel. Il est également important de regarder au-delà des anticorps pour mieux comprendre comment les vaccins offrent une protection contre Omicron. Au fur et à mesure que nous comprenons mieux Omicron, nous pensons que nous découvrirons que la réponse des cellules T offre une protection durable contre la maladie grave et les hospitalisations", a-t-il affirmé.