Pause Vlisco: La dépigmentation, les retouches, la chirurgie plastique au cœur des débats entre femmes

Les panélistes se sont appuyés sur leur expérience pour sensibiliser les femmes. (Bavane)
Les panélistes se sont appuyés sur leur expérience pour sensibiliser les femmes. (Bavane)
Les panélistes se sont appuyés sur leur expérience pour sensibiliser les femmes. (Bavane)

Pause Vlisco: La dépigmentation, les retouches, la chirurgie plastique au cœur des débats entre femmes

Le 15/12/21 à 07:58
modifié 15/12/21 à 07:58
Le 10 décembre, à Grand Hôtel, à Abidjan-Plateau, s’est tenu « La pause Vlisco ». Une lucarne qui donne l’occasion aux femmes d’échanger ou de partager leurs expériences autour d’une thématique.

« La nature nous a fait, la science nous refait entre retouches, rallonges, chirurgie plastique et botex. C’est quoi être belle aujourd’hui ? », a été le thème autour duquel, Agnès Kraidy, ambassadeur Vlisco, journaliste et par ailleurs conseiller technique au ministère de la Communication, des Médias et de la Francophonie ; Dr Lynda Kaboré, pharmacienne et Yao Yao Odette, professeur d’histoire-géographie et ex-ambassadeur (panelistes) et des femmes de différents corps de métiers, notamment des cadres supérieurs, chefs d’entreprises, femmes de ménage, ont échangé.

Des gagnantes au tirage au sort heureuses de recevoir des présents Vlisco. (Bavane)
Des gagnantes au tirage au sort heureuses de recevoir des présents Vlisco. (Bavane)



Elles ont démontré dans les échanges que la beauté n’a pas besoin d’effets artificiels. Selon elles, la beauté étant une question existentielle, une femme n’a pas besoin de se tourner vers les retouches, les rallonges, la chirurgie plastique et la dépigmentation. Seulement que le corps d’une femme soit en harmonie avec elle-même. La beauté étant culturelle selon elles, il faut que la femme allie beauté à la simplicité en y ajoutant l’estime de soi.

De façon unanime, elles ont conclu qu’une femme doit rester naturelle. Elles en appellent au respect de leur identité naturelle qui valorise la beauté. A travers ce rendez-vous, il s’est agi pour ces femmes de se parler, sensibiliser aux problèmes néfastes de la dépigmentation.

Les femmes présentes ont démontré leur adhésion à la thématique. (Bavane)
Les femmes présentes ont démontré leur adhésion à la thématique. (Bavane)



Mieux, elles comptent sensibiliser leurs « sœurs » à la chirurgie plastique, la dépigmentation cutanée cosmétique, artificielle ou encore volontaire. Une pratique bien connue en Côte d’Ivoire et observée aussi dans les populations jeunes et adultes. Une pratique essentiellement féminine qui touche plus d’une fille.



Le 15/12/21 à 07:58
modifié 15/12/21 à 07:58