Festival Panafricain de la Photographie d’Art d’Abidjan (Festipha): Une 2e édition au cœur du passé pour mieux se projeter dans le futur

Barnus Gbékidé, artiste photographe, initiateur du Festipha s’est dit satisfait de l’engouement suscité pour cette 2e édition. (Dr)
Barnus Gbékidé, artiste photographe, initiateur du Festipha s’est dit satisfait de l’engouement suscité pour cette 2e édition. (Dr)
Barnus Gbékidé, artiste photographe, initiateur du Festipha s’est dit satisfait de l’engouement suscité pour cette 2e édition. (Dr)

Festival Panafricain de la Photographie d’Art d’Abidjan (Festipha): Une 2e édition au cœur du passé pour mieux se projeter dans le futur

Le 27/11/21 à 22:11
modifié 27/11/21 à 22:11
Valoriser le patrimoine culturel Africain et la photographie d’auteur et de création. Tel est la vision première qui a motivé la mise sur pied du Festival Panafricain de la Photographie d’Art d’Abidjan du (Festipha). Après une première édition bien réussie, les flashs se sont éteints le 26 novembre sur la 2e édition du (Festipha) qui a ouvert ses portes le 23 novembre par un vernissage à l’Institut français d’Abidjan-Plateau. Cette exposition-photo collective était placée sous le thème de l’édition : « La mémoire, témoin du passé pour les temps futurs ».
A cette occasion, les photographes, une dizaine, venus de Côte d’Ivoire, Togo, Cameroun Sénégal, Burkina Faso, Congo et du Niger exposent jusqu’au 7 décembre prochain, des œuvres qui retracent l’histoire en rapport avec l’Afrique autour de la thématique de l’édition 2021 du Festipha.
« La photographie étant un art d’expression créatif, il est donc normal que cette thématique soit déclinée sous plusieurs approches. A savoir la photographie documentaire, plasticienne y compris différents sujets et styles possibles qui pourront faire l’objet d’une expo collective, narrative et expressive », a expliqué Barnus Gbékidé, artiste photographe, initiateur de ce festival.
Challenge Festipha portant sur les photos retro, atelier de formation (jeunes) à l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturel (Insaac), panel et apéro photo à l’Institut Goethe ont également meublé le programme.
Le 27/11/21 à 22:11
modifié 27/11/21 à 22:11