Les participants à la 5e Sirs sont venus de presque tous les pays de l’Afrique pour prendre part à cette rencontre de haut niveau qui a duré plusieurs jours. (Ph: Dr)
Les participants à la 5e Sirs sont venus de presque tous les pays de l’Afrique pour prendre part à cette rencontre de haut niveau qui a duré plusieurs jours. (Ph: Dr)
Lutte contre le terrorisme: L’implication des armées dans la sécurisation intérieure des États recommandée
La 5e Session internationale de réflexion stratégique (Sirs) a pris fin, le vendredi 26 novembre 2021.
Débutée le lundi 22 novembre, la cérémonie de clôture de cette rencontre de haut niveau a eu lieu à l’hôtel Palm Club à Cocody. Elle a été sanctionnée par de nombreuses résolutions. L’une des recommandations fortes faites par les participants a été l’implication des armées dans la sécurisation intérieure des États en vue de lutter efficacement contre le terrorisme.
Le ministre d’État, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, empêché, c’est le général de division, Koné Mambi qui l’a représenté à la fin de la session qui a mobilisé 70 auditeurs dont 30 nationaux et 40 internationaux.
A ce titre, l’officier supérieur a fait savoir que « le caractère transnational de certaines menaces exige une étroite coopération entre les forces de défense et de sécurité de nos différents pays ».
Pour lui, c’est la seule condition pour créer une paix durable et un développement des régions. Toujours dans le cadre des résolutions, les hommes et femmes présentes aux réunions ont fait une proposition relative à la prise en compte de l’aspect juridique qui doit prévaloir dans la collaboration entre les forces armées. Cela favorisera, ont -ils argué, une symbiose d’actions en tenant compte de l’environnement sécuritaire des différents États.
La 5e Sirs avait pour thème : « Armées africaines et sécurité intérieure : état des lieux et enjeux pour le développement ». A l’ouverture de cette rencontre, le lundi 22 novembre, le ministre d’État, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, qui présidait cette séance, avait souhaité que la thématique proposée puisse permettre aux acteurs, d’origines différentes et de domaines de compétences variées, de confronter leurs points de vue sur le rôle des armées africaines dans la gestion de la sécurité intérieure dans les pays du continent noir.
Il avait aussi rappelé que le rôle traditionnel des armées consiste à défendre les pays des agressions extérieures. « Mais force est de constater que cela n’est pas le cas », avait-il regretté. Selon lui, en effet, les nouvelles menaces « brouillent les frontières entre sécurité intérieure et sécurité extérieure ».
A ce titre, l’officier supérieur a fait savoir que « le caractère transnational de certaines menaces exige une étroite coopération entre les forces de défense et de sécurité de nos différents pays ».
Pour lui, c’est la seule condition pour créer une paix durable et un développement des régions. Toujours dans le cadre des résolutions, les hommes et femmes présentes aux réunions ont fait une proposition relative à la prise en compte de l’aspect juridique qui doit prévaloir dans la collaboration entre les forces armées. Cela favorisera, ont -ils argué, une symbiose d’actions en tenant compte de l’environnement sécuritaire des différents États.
La 5e Sirs avait pour thème : « Armées africaines et sécurité intérieure : état des lieux et enjeux pour le développement ». A l’ouverture de cette rencontre, le lundi 22 novembre, le ministre d’État, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, qui présidait cette séance, avait souhaité que la thématique proposée puisse permettre aux acteurs, d’origines différentes et de domaines de compétences variées, de confronter leurs points de vue sur le rôle des armées africaines dans la gestion de la sécurité intérieure dans les pays du continent noir.
Il avait aussi rappelé que le rôle traditionnel des armées consiste à défendre les pays des agressions extérieures. « Mais force est de constater que cela n’est pas le cas », avait-il regretté. Selon lui, en effet, les nouvelles menaces « brouillent les frontières entre sécurité intérieure et sécurité extérieure ».