Le président de l'Assemblée nationale du Burkina Faso, Bala Sakandé
Covid-19/Trafics aux frontières terrestres : Le président de l’Assemblée nationale du Burkina Faso interpelle le gouvernement de son pays
Le président de l’Assemblée nationale du Burkina Faso, Alassane Bala Sakandé est révolté contre cette façon de « fermer » les frontières pour cause de maladie à coronavirus, rapporte un confrère du pays des Hommes intègres, Burkina24. Le Chef du parlement s’est insurgé, le 26 octobre 2021, contre les pratiques qui ont cours aux frontières terrestres de son pays. « Il faut qu’on se dise les choses telles que vécues. En français facile, fermeture des frontières veut dire que personne ne passe et que personne ne sort », a-t-il soutenu.
Plaidant pour un contrôle plus accru aux frontières terrestres, il a dénoncé les trafics qui y ont cours avec la fermeture. C’est cette problématique qui a fait l’objet de questions orales lors d’une séance plénière à l’Assemblée nationale. Où le Premier ministre du Faso, Christophe Dabiré a été interpellé par le président de l’Assemblée nationale. L’Honorable Alassane Bala Sakandé a appelé les autorités sécuritaires de son pays à ne pas « maintenir cette situation en l’état ».
A l’en croire, il n’est pas tolérable de voir des gens dans la brousse avec des tricycles ne sachant pas ce qu’ils transportent. « Pour une somme dérisoire, le gars passe, qu’est-ce qu’on fait ? Est-ce qu’on va être là assis en train de faire des études pendant qu’on ne sait pas qui rentre, qui sort ? Il y a un problème pour notre sécurité », s’est-il offusqué rapporte Burkina24. Et d’ajouter : « Honnêtement si vous ne prenez pas des décisions dans des meilleurs délais, ce trafic qui se fait au niveau des frontières, nous allons recevoir les conséquences à la figure ».
En Côte d’Ivoire, se prononçant le 23 juillet 2021 sur la cherté de la vie, la Fédération nationale des acteurs du commerce de Côte d’Ivoire (Fenacci), dirigée par le deputé-maire d’Adjamé Soumahoro Farikou avait demandé la réouverture des frontières terrestres afin de permettre aux opérateurs économiques de mener en toute tranquillité leurs activités. Cette situation devrait permettre d’éviter les trafics de tout genre.
C’est à compter du 22 mars 2020 que la Côte d’Ivoire a fermé ses frontières terrestres, maritimes et aériennes, à l’instar de nombreux pays du monde. Concernant les frontières aériennes, la situation a nettement évolué avec l’exigence du test Pcr, (en anglais : polymerase chain reaction ) ou encore test d'amplification des acides nucléiques, à tous les voyageurs.
La décision de fermeture des frontières s'inscrit dans le cadre de la lutte contre la propagation de la maladie à Coronavirus (Covid-19) et après évaluation de l'évolution de la pandémie. Cependant au terme de la 9ème Conférence au Sommet du Traité d’amitié et de coopération (Tac), le 27 juillet 2021 à Abidjan, la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso sont convenus de la réouverture prochaine de leurs frontières terrestres, en vue de faciliter la libre circulation de personnes et des biens dans le strict respect des mesures sécuritaires et sanitaires.
A l’en croire, il n’est pas tolérable de voir des gens dans la brousse avec des tricycles ne sachant pas ce qu’ils transportent. « Pour une somme dérisoire, le gars passe, qu’est-ce qu’on fait ? Est-ce qu’on va être là assis en train de faire des études pendant qu’on ne sait pas qui rentre, qui sort ? Il y a un problème pour notre sécurité », s’est-il offusqué rapporte Burkina24. Et d’ajouter : « Honnêtement si vous ne prenez pas des décisions dans des meilleurs délais, ce trafic qui se fait au niveau des frontières, nous allons recevoir les conséquences à la figure ».
En Côte d’Ivoire, se prononçant le 23 juillet 2021 sur la cherté de la vie, la Fédération nationale des acteurs du commerce de Côte d’Ivoire (Fenacci), dirigée par le deputé-maire d’Adjamé Soumahoro Farikou avait demandé la réouverture des frontières terrestres afin de permettre aux opérateurs économiques de mener en toute tranquillité leurs activités. Cette situation devrait permettre d’éviter les trafics de tout genre.
C’est à compter du 22 mars 2020 que la Côte d’Ivoire a fermé ses frontières terrestres, maritimes et aériennes, à l’instar de nombreux pays du monde. Concernant les frontières aériennes, la situation a nettement évolué avec l’exigence du test Pcr, (en anglais : polymerase chain reaction ) ou encore test d'amplification des acides nucléiques, à tous les voyageurs.
La décision de fermeture des frontières s'inscrit dans le cadre de la lutte contre la propagation de la maladie à Coronavirus (Covid-19) et après évaluation de l'évolution de la pandémie. Cependant au terme de la 9ème Conférence au Sommet du Traité d’amitié et de coopération (Tac), le 27 juillet 2021 à Abidjan, la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso sont convenus de la réouverture prochaine de leurs frontières terrestres, en vue de faciliter la libre circulation de personnes et des biens dans le strict respect des mesures sécuritaires et sanitaires.