La Société ivoirienne de cardiologie (Sicard), en collaboration avec la Fondation Orange-Ci, a organisé la Journée mondiale du cœur (Jmc), le 29 septembre, à travers une série d’activités décentralisées. Ce, dans le but d’attirer l’attention des populations sur l’impact négatif des maladies cardiovasculaires.

Les maladies cardiovasculaires représentant la première cause de mortalité dans le monde, cette journée a été l’occasion de communiquer sur l’impact négatif de ces maladies sur la dynamique de croissance économique des pays en voie de développement comme la Côte d’Ivoire.

Pour l’édition 2021 qui a eu pour thème : « La place de la solution digitale dans la lutte contre les maladies cardiovasculaires », les organisateurs ont opté pour la décentralisation des activités dans plusieurs communes du pays, notamment à la mairie d’Abobo, à Koumassi quartier Divo et à Bouaké au quartier Sakabo.

Des activités de prévention des maladies cardiovasculaires toujours accompagnées par le ministère de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle.

A la population jeune, le président de la Sicard, Pr Roland N’Guetta, a insisté sur la lutte contre la sédentarité par la pratique d’une activité physique régulière telle que la marche, la course à pied, la pratique du vélo... Outre cela, l’accent a été mis sur l’Hypertension artérielle (Hta), le diabète, la surcharge pondérale et l’obésité.

Ceci, pour affiner la stratégie nationale de lutte contre ces maladies dites émergentes et causes d’évènements cardiovasculaires tels que les Accidents vasculaires cérébraux (Avc), l’infarctus du myocarde ou la crise cardiaque, l’insuffisance cardiaque et la mort subite.