Elibou/Sikensi : Six individus interpellés pour détention illégale d’armes à feu

Les six malfrats mis aux arrêts à Elibou dans le département de Sikensi. (Photo : DGPN)
Les six malfrats mis aux arrêts à Elibou dans le département de Sikensi. (Photo : DGPN)
Les six malfrats mis aux arrêts à Elibou dans le département de Sikensi. (Photo : DGPN)

Elibou/Sikensi : Six individus interpellés pour détention illégale d’armes à feu

La direction de la police criminelle a neutralisé six redoutables malfrats à Elibou (Sikensi).
La direction de la police criminelle a appréhendé, le 2 septembre 2021, six individus, détenteurs d’armes à feu, dans la localité d’Elibou (Sikensi).

Cette action de lutte contre la criminalité dans cette zone s’inscrit dans le cadre du programme de prévention du crime par anticipation du commissaire divisionnaire de police Zagadou Vincent De Paul, confirmé au poste de directeur de la police criminelle depuis le 8 septembre 2021.

En effet, une information anonyme faisant état de la présence d’individus suspects qui projetaient de mener des attaques à main armée dans cette localité, a permis d’interpeller ces hors-la-loi. Il s’agit de Ouédraogo Michel, 37 ans, Burkinabè ; Sawadogo Alassane, 36 ans, Burkinabè se disant saigneur d’hévéa et domicilié à Elibou ; Guéi Arthur, 32 ans, Ivoirien ; Doudou Zadi Wilfred, 31 ans, Ivoirien domicilié à N’douci ; Kambou Mathieu, 19 ans, Ivoirien se disant saigneur d’Hévéa à Divo ; Koïta Moussa, 41 ans, Malien, vendeur de poulets, domicilié à Elibou.

Cette interpellation qui est liée à des plaintes récurrentes des populations de Sikensi a permis de faire plusieurs saisies. Notamment, trois armes à feu dont un pistolet automatique de marque Jéricho de calibre 9 mm non garni ; un pistolet artisanal de calibre 12 garni d’une munition ; un pistolet semi-automatique de marque ignorée garni d’une munition et deux motos non immatriculées.

« Pour répondre de leurs actes, ces six malfrats seront conduits devant le Tribunal de première instance d’Abidjan-Plateau », a insisté le directeur de la police criminelle.

Une correspondance de D. Assouman