L'ancien président Laurent Gbagbo. (Photo : Julien Monsan)
Gbagbo aux familles des prisonniers : « Notre combat, c’est de les sortir de là… »
Deux mois après son retour en terre ivoirienne, Laurent Gbagbo, ancien pensionnaire de la prison de la Haye, a tenu à rassurer les familles des prisonniers des différentes crises.
Laurent Gbagbo se veut redevable envers les prisonniers de la crise post-électorale de 2010-2011. Une semaine après les échanges qu’il a eus avec le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, l’ex-président Laurent Gbagbo promet de tout mettre en œuvre pour la libération de ses camarades de lutte.
S’adressant donc aux parents de ces prisonniers encore en prison, ce lundi 2 août, à Abidjan-Cocody, il les a rassurés qu’il s’attellera à les faire sortir de prison. « Notre combat, c’est de les sortir de là et qu’il n’y ait plus un seul prisonnier d'opinion en Côte d’Ivoire », a-t-il déclaré devant ses hôtes.
Pour lui, ces hommes n’ont pas leur place en prison parce que dans tous les Etats, il y a des palabres.
Terminant son propos, il a ordonné à son secrétaire général, Assoa Adou de lui rappeler à chaque fois que le besoin se fera sentir afin qu’il puisse jouer pleinement son rôle dans cette mission qu’il s’est assignée.
« Assoa Adou, il faut me le rappeler pour que l’on puisse le faire... Emmanuel Aka, il faut me le rappeler pour que l’on le dise... Il faut que nous parlions à ceux qui peuvent ouvrir les portes des prisons... », a dit Laurent Gbagbo sur un ton très amical.
Mélèdje Tresore
S’adressant donc aux parents de ces prisonniers encore en prison, ce lundi 2 août, à Abidjan-Cocody, il les a rassurés qu’il s’attellera à les faire sortir de prison. « Notre combat, c’est de les sortir de là et qu’il n’y ait plus un seul prisonnier d'opinion en Côte d’Ivoire », a-t-il déclaré devant ses hôtes.
Pour lui, ces hommes n’ont pas leur place en prison parce que dans tous les Etats, il y a des palabres.
Terminant son propos, il a ordonné à son secrétaire général, Assoa Adou de lui rappeler à chaque fois que le besoin se fera sentir afin qu’il puisse jouer pleinement son rôle dans cette mission qu’il s’est assignée.
« Assoa Adou, il faut me le rappeler pour que l’on puisse le faire... Emmanuel Aka, il faut me le rappeler pour que l’on le dise... Il faut que nous parlions à ceux qui peuvent ouvrir les portes des prisons... », a dit Laurent Gbagbo sur un ton très amical.
Mélèdje Tresore