Données sur le genre : L’Oneg appelle à une synergie d’action des structures impliquées
Une réunion de concertation avec les responsables des départements de planification et des statistiques des ministères sectoriels et des structures techniques, s’est tenue le mardi 8 juin, à l’auditorium de la Primature, au Plateau.
Cette rencontre initiée par l’Observatoire national de l’équité et du genre (Oneg) avait pour objectif la mise en place de mécanismes de collecte de données sur le genre.
Le directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, Moctar Touré, a indiqué, citant les institutions, que la réduction des inégalités entre homme et femme est essentielle dans la résolution de certains problèmes.
Il a fait savoir la volonté du gouvernement dans le suivi des indicateurs. « Le rapport 2017 de la Banque mondiale intitulé ‘’Et si l’émergence était une femme’’ démontre que la promotion de l’équité homme-femme est un instrument de politique économique efficace, susceptible de générer des gains supérieurs à 6 milliards de dollars en Côte d’Ivoire ».
Pour lui, les données sur le genre sont importantes, qu’elles soient qualitatives ou quantitatives car, dira-t-il, elles mettent en évidence les résultats, les problèmes à résoudre et les insuffisances à corriger.
Les statistiques du genre fournissent de précieuses informations. Les données sont un instrument de plaidoyer et un outil de prise de décision pour le gouvernement qui adhère à l’approche genre comme outil de développement durable et inclusif, a-t-il ajouté.
C’est pourquoi, il a tenu à rassurer du soutien du Premier ministre Patrick Achi. Aussi, le directeur de cabinet du Premier ministre a exhorté à la coopération, à la synergie pour plus d’impact. « Le pays a besoin de toutes ses forces vives pour participer à la création de richesse et au partage des fruits de la croissance », a-t-il affirmé. « Vous devrez donc tous vous engager en faisant la veille pour que ces inégalités soient en voie de réduction », invite-t-il.
La secrétaire exécutive de l’Oneg, Kaba Fofana, a, pour sa part, révélé que cette rencontre vise à construire un cadre commun de collecte des données sur le genre en Côte d’Ivoire. Rappelant les missions de sa structure qui sont la veille, l’alerte et l’anticipation en matière de promotion du genre, le suivi-évaluation des indicateurs de genre, etc., elle a demandé aux autres acteurs une mutualisation des efforts pour un écosystème des statistiques performant. « Le constat en matière de genre est alarmant. Il commande qu’on agisse vite et ensemble », précise Kaba Fofana.
La secrétaire exécutive de l’Oneg espère donc au sortir de cette rencontre que les obstacles soient levés pour que les données relatives au genre en Côte d’Ivoire soient à la hauteur des attentes.
Quant à la Représentante-résidente de Onu Femmes Côte d'Ivoire, Antonia Ngabala-Sodonon, elle a salué cette initiative de haut niveau. Elle a rappelé l’importance des 17 Objectifs de développement durable (Odd) qui sont conçus pour aider les populations vulnérables. Tout en affirmant que Onu Femmes assure la réalisation de l’Odd 5 relatif à l’égalité des genres.
Le directeur de cabinet adjoint du Premier ministre, Moctar Touré, a indiqué, citant les institutions, que la réduction des inégalités entre homme et femme est essentielle dans la résolution de certains problèmes.
Il a fait savoir la volonté du gouvernement dans le suivi des indicateurs. « Le rapport 2017 de la Banque mondiale intitulé ‘’Et si l’émergence était une femme’’ démontre que la promotion de l’équité homme-femme est un instrument de politique économique efficace, susceptible de générer des gains supérieurs à 6 milliards de dollars en Côte d’Ivoire ».
Pour lui, les données sur le genre sont importantes, qu’elles soient qualitatives ou quantitatives car, dira-t-il, elles mettent en évidence les résultats, les problèmes à résoudre et les insuffisances à corriger.
Les statistiques du genre fournissent de précieuses informations. Les données sont un instrument de plaidoyer et un outil de prise de décision pour le gouvernement qui adhère à l’approche genre comme outil de développement durable et inclusif, a-t-il ajouté.
C’est pourquoi, il a tenu à rassurer du soutien du Premier ministre Patrick Achi. Aussi, le directeur de cabinet du Premier ministre a exhorté à la coopération, à la synergie pour plus d’impact. « Le pays a besoin de toutes ses forces vives pour participer à la création de richesse et au partage des fruits de la croissance », a-t-il affirmé. « Vous devrez donc tous vous engager en faisant la veille pour que ces inégalités soient en voie de réduction », invite-t-il.
La secrétaire exécutive de l’Oneg, Kaba Fofana, a, pour sa part, révélé que cette rencontre vise à construire un cadre commun de collecte des données sur le genre en Côte d’Ivoire. Rappelant les missions de sa structure qui sont la veille, l’alerte et l’anticipation en matière de promotion du genre, le suivi-évaluation des indicateurs de genre, etc., elle a demandé aux autres acteurs une mutualisation des efforts pour un écosystème des statistiques performant. « Le constat en matière de genre est alarmant. Il commande qu’on agisse vite et ensemble », précise Kaba Fofana.
La secrétaire exécutive de l’Oneg espère donc au sortir de cette rencontre que les obstacles soient levés pour que les données relatives au genre en Côte d’Ivoire soient à la hauteur des attentes.
Quant à la Représentante-résidente de Onu Femmes Côte d'Ivoire, Antonia Ngabala-Sodonon, elle a salué cette initiative de haut niveau. Elle a rappelé l’importance des 17 Objectifs de développement durable (Odd) qui sont conçus pour aider les populations vulnérables. Tout en affirmant que Onu Femmes assure la réalisation de l’Odd 5 relatif à l’égalité des genres.