Le représentant du ministre Kouablan François (au centre) exhorte les techniciens à s’approprier ce renforcement de leurs capacités. (Photo : DR)
Le représentant du ministre Kouablan François (au centre) exhorte les techniciens à s’approprier ce renforcement de leurs capacités. (Photo : DR)
Chaîne du froid : Des techniciens renforcent leurs capacités
Pendant trois jours, des techniciens de la chaîne du froid de la commune de Koumassi vont renforcer leurs capacités en vue de s’adapter aux bonnes pratiques dans l’entretien des équipements contenant les hydrochlorofluorocarbones (Hcfc); aux nouvelles technologies d’utilisation du froid.
Un atelier est organisé, à cet effet, par le ministère de l’Environnement et du Développement durable, du 26 au 28 mai, au Centre de perfectionnement aux métiers de la mécanique et de l’électricité (Cpmme) de Koumassi.
Procédant à l’ouverture de cet atelier, Kouablan François, directeur de cabinet du ministre de l'Environnement et du Développement durable, représentant le ministre Jean-Luc Assi, a rappelé que pour lutter contre la détérioration de la couche d’Ozone, la Côte d’Ivoire a adhéré au Protocole de Montréal (Canada); Protocole interdisant l'usage des substances qui appauvrissent la couche d’Ozone, le 30 novembre 1992.
En y adhérant, le pays s’est engagé à éliminer lesdites substances sur tout le territoire national. Ces substances généralement connues sous le nom de fréons utilisés dans les secteurs du froid et de la climatisation.
A cette fin, dit-il, le Medd, à travers le Bureau national Ozone en collaboration avec le Programme des Nations unies pour l’environnement (Onu-Environnement), a élaboré un plan d’élimination sous forme de projets dont celui portant gestion et élimination des Hcfc. Ce qui a permis à la Côte d’Ivoire de respecter la date du 1er janvier 2020, prévue pour l’élimination de 35% de la consommation des Hcfc.
C’est là, selon lui, que l’atelier prend tout son sens et d’inviter les techniciens de froid bénéficiaires, à lui accorder beaucoup d’intérêt. « La formation se poursuivra dans d’autres communes et villes du pays. Ce qui se traduit par la création d’un centre d’excellence en formation de froid à Koumassi », a-t-il mentionné.
N’guessan N'cho Valentin, coordonnateur national du projet Ozone, pour sa part, s’est dit heureux de l’intérêt accordé à cette formation financée par le Fonds multilatéral de Montréal. Cet atelier, à l’en croire, vise également à préparer les techniciens à l’examen de la certification.
Procédant à l’ouverture de cet atelier, Kouablan François, directeur de cabinet du ministre de l'Environnement et du Développement durable, représentant le ministre Jean-Luc Assi, a rappelé que pour lutter contre la détérioration de la couche d’Ozone, la Côte d’Ivoire a adhéré au Protocole de Montréal (Canada); Protocole interdisant l'usage des substances qui appauvrissent la couche d’Ozone, le 30 novembre 1992.
En y adhérant, le pays s’est engagé à éliminer lesdites substances sur tout le territoire national. Ces substances généralement connues sous le nom de fréons utilisés dans les secteurs du froid et de la climatisation.
A cette fin, dit-il, le Medd, à travers le Bureau national Ozone en collaboration avec le Programme des Nations unies pour l’environnement (Onu-Environnement), a élaboré un plan d’élimination sous forme de projets dont celui portant gestion et élimination des Hcfc. Ce qui a permis à la Côte d’Ivoire de respecter la date du 1er janvier 2020, prévue pour l’élimination de 35% de la consommation des Hcfc.
C’est là, selon lui, que l’atelier prend tout son sens et d’inviter les techniciens de froid bénéficiaires, à lui accorder beaucoup d’intérêt. « La formation se poursuivra dans d’autres communes et villes du pays. Ce qui se traduit par la création d’un centre d’excellence en formation de froid à Koumassi », a-t-il mentionné.
N’guessan N'cho Valentin, coordonnateur national du projet Ozone, pour sa part, s’est dit heureux de l’intérêt accordé à cette formation financée par le Fonds multilatéral de Montréal. Cet atelier, à l’en croire, vise également à préparer les techniciens à l’examen de la certification.