Droits des enfants : L’Ong Children Rights Watch à la rescousse de ces derniers

La présidente de Children Rights Watch, Sonia Atteman (au milieu en rose) entourée des membres de l'Ong. (DR)
La présidente de Children Rights Watch, Sonia Atteman (au milieu en rose) entourée des membres de l'Ong. (DR)
La présidente de Children Rights Watch, Sonia Atteman (au milieu en rose) entourée des membres de l'Ong. (DR)

Droits des enfants : L’Ong Children Rights Watch à la rescousse de ces derniers

« Veiller au respect des droits des enfants ». C’est la mission que s’est assignée l’Ong Children Rights Watch. La cérémonie officielle de présentation de l’organisation et du lancement de ses activités a eu lieu le 22 mai 2021, à l’hôtel la Rose Blanche, à Abidjan-Cocody. C’était en présence des représentants de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) et du Conseil national des droits de l’homme (Cndh).

Après la présentation de l’Ong, sa présidente, Sonia Atteman, compte se mettre au travail sans attendre. « Nous comptons intervenir au niveau de la scolarisation en contribuant à la prise en charge des mineurs dont les parents n’ont pas les moyens, principalement dans le milieu rural. Organiser des cours de renforcement, créer des centres d'alphabétisation et aider à la réinsertion des jeunes en difficulté dans la vie sociale à travers des formations professionnelles », a-t-elle souligné.

Une cause noble qui tient à cœur à Mme Cissé Massandjé, présidente de l’association à but non lucratif “Vivre ensemble”. Mais face à l'existence de nombreuses organisations de ce genre, elle met un point d'honneur à rappeler le but même d'une Ong et l'état d'esprit qu'il faut avoir quand on y adhère.

« Quand on commence, il faut aller jusqu'au bout. On le fait pour nous, le pays et non pour la richesse. Il faut aider les enfants à sortir de la rue. Il faut également y adhérer par la dignité et non pas par appât du gain », a conseillé Cissé Massandjé.

Pour Mme Touré Marcelle, membre de l’Ong Children Rights Watch, son organisation est bien consciente de cela. « L’on ne peut jouer avec le bien-être des enfants. Il y va de leur avenir (...). On est là parce qu'on a décidé de manière consciencieuse à veiller au respect des droits des enfants », a-t-elle indiqué.

Paule-Emmanuelle Delbe (Stagiaire)