Autonomisation de la Femme : Nassénéba Touré engage la lutte contre la pauvreté féminine

Photo de famille après la première séance de travail entre la ministre Nassénéba Touré et les organisation de défense des droits des femmes. (DR)
Photo de famille après la première séance de travail entre la ministre Nassénéba Touré et les organisation de défense des droits des femmes. (DR)
Photo de famille après la première séance de travail entre la ministre Nassénéba Touré et les organisation de défense des droits des femmes. (DR)

Autonomisation de la Femme : Nassénéba Touré engage la lutte contre la pauvreté féminine

Le 17/05/21 à 13:23
modifié 17/05/21 à 13:23
La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Nassénéba Touré, veut faire de la lutte contre la pauvreté féminine son cheval de bataille. Pour ce faire, elle veut s’appuyer sur les organisations de la société civile, en particulier celles des défenses des droits de la femme.

Une rencontre de prise de contact avec les organisations de la société civile a eu lieu à cet effet, le lundi 10 mai, à la salle Félix Houphouët-Boigny du district d’Abidjan.

La ministre a affirmé son engagement à apporter sa contribution à l’autonomisation de la femme et de la jeune fille en Côte d’Ivoire. « J’ai à cœur, comme vous, chères sœurs et partenaires, l’autonomisation des femmes et des jeunes filles pour qu’ensemble, nous contribuons à éliminer la pauvreté féminine qui est un véritable frein à l’épanouissement des familles dans notre pays », a-t-elle déclaré.

Nassénéba Touré a par ailleurs rassuré de sa disponibilité aux côtés des organisations de la société civile à investir tous les chantiers portant sur « tout ce qui porte à la promotion politique, économique, sociale et culturelle des femmes » et de veiller, plus que jamais, à la protection des enfants et adolescents y compris les filles.

Les organisations de défense des droits des femmes ont répondu nombreuses, à l'appel de la ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant. (DR)
Les organisations de défense des droits des femmes ont répondu nombreuses, à l'appel de la ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant. (DR)



Pour sa part, Rachel Gogoua a indiqué, au nom de toutes les organisations de défenses des droits des femmes, que les organisations de défense des droits des femmes se sentent honorées d’être associées à cette séance d’échanges, la première du genre sous l’ère du nouveau ministre en charge des questions de la femme.

Pour elle, cette initiative du ministre augure du travail qui sera fait ensemble. « Nous croyons et espérons qu’après cette rencontre inaugurale, des sessions thématiques seront organisées pour amener les différentes organisations à contribuer à la mouvance. Ainsi, nous serons co-responsables des actions que vous allez mener », a-t-elle proposé.



Le 17/05/21 à 13:23
modifié 17/05/21 à 13:23