Quoique hors de Côte d’Ivoire, le président du Sénat a suivi avec un intérêt soutenu et un pincement au cœur l’actualité politique nationale marquée par l’élection présidentielle d’octobre 2020 et la tenue pacifique des élections législatives du 6 mars 2021.

Sur la question de l’élection du Président de la République, il a avoué que son institution y a travaillé avec l’intention univoque de créer un cadre constitutionnel et légal propice à une élection transparente, inclusive et apaisée.

C’est pourquoi il a regretté et condamné fermement toutes ces violences injustifiées qui ont émaillé l’élection présidentielle dans nombre de localités de la Côte d’Ivoire.

Selon lui, devant ces actes de vandalisme et de violences inouïes, le président de la République, par son sens élevé du pardon et de la réconciliation, a su préserver la paix retrouvée et la cohésion sociale, gage du développement durable de la Côte d’Ivoire.

Après s’être félicité du plébiscite du Président Alassane Ouattara au soir de l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, et s’être réjoui de la majorité confortable offerte par les députés du Rhdp au sein de l’hémicycle, à l’issue des législatives du 6 mars 2021, Jeannot Ahoussou-Kouadio a estimé que le temps est venu de mettre fin aux violences. « Nous pensons qu’il est temps de préserver la paix retrouvée en Côte d’Ivoire», a-t-il affirmé.

Du haut de sa tribune, il a plaidé pour la libération de tous les acteurs de ce sombre pan de l’histoire de la Côte d’Ivoire, afin que la paix retrouvée soit totale, durable et définitive. «Tout citoyen vivant sur le territoire ivoirien doit se sentir débiteur de la paix à l’endroit de son prochain», a-t-il souligné.

N. Célestin