Dr Eugène Aka Aouélé, ministre de la Santé et de l’Hygiène publique. (Photo : DR)
Lutte contre la tuberculose : 86% des malades sous traitement guérissent en Côte d’Ivoire
« L’horloge tourne ». C’est le thème de la 26e Journée mondiale de lutte contre la tuberculose (Jmlt) célébrée ce mercredi 24 mars, dans les pays du monde.
Dans une déclaration relative à l’événement, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique (Mshp), Eugène Aka Aouélé, a indiqué d’emblée que la tuberculose continue d’avoir des répercussions dévastatrices sur les populations à l’échelle mondiale, en dépit des efforts des gouvernements.
Le ministre a noté avec satisfaction que le traitement et la qualité du suivi des patients sont stables en Côte d’Ivoire avec 86 % de taux de guérison. 99 % des patients co-infectés par le Vih/Sida sont également sous traitement antirétroviral (Arv).
Le rapport de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) indique qu’environ 10 000 000 de personnes ont eu la tuberculose l’an dernier. 1 200 000 en sont décédées, soit 12 %. Environ 24 % des malades sont en Afrique. « En ce qui concerne la Côte d’Ivoire, nous avons noté une stabilisation de la notification autour de 21 000 de 2017 à 2019 (...). En 2020, le nombre de cas notifiés a chuté de 7 % et le taux de décès a connu une hausse de 2 % par rapport à 2019, à cause de la pandémie de la Covid-19 », a relevé Aka Aouélé.
Cette situation, a poursuivi le ministre, a conduit la tutelle à adopter des dispositions vigoureuses. Ces mesures prises très tôt, au mois de mai 2020, à travers un plan de contingence de réduction de l’impact de la Covid-19 ont porté sur la communication de proximité par les agents de santé communautaire et l’instauration de la confiance et de l’assurance par la distribution des outils de protection aux personnels de santé et aux malades.
A propos du thème de la 26e Jmlt : « L’horloge tourne », Aka Aouélé soutient qu’il a vocation à accentuer la pression sur les pouvoirs publics pour accélérer la mise en place des stratégies et des financements adéquats en vue de l’élimination de la tuberculose. « Le gouvernement tient à rassurer la population sur le respect des engagements de notre pays », a confié le ministre.
L’édition 2021 de la Jmlt sera meublée par des activités décentralisées dans toutes les régions sanitaires de la Côte d’Ivoire. Ces célébrations sont pilotées par les préfets de région et les directeurs régionaux et départementaux de la santé.
Le ministre a noté avec satisfaction que le traitement et la qualité du suivi des patients sont stables en Côte d’Ivoire avec 86 % de taux de guérison. 99 % des patients co-infectés par le Vih/Sida sont également sous traitement antirétroviral (Arv).
Le rapport de l’Organisation mondiale de la santé (Oms) indique qu’environ 10 000 000 de personnes ont eu la tuberculose l’an dernier. 1 200 000 en sont décédées, soit 12 %. Environ 24 % des malades sont en Afrique. « En ce qui concerne la Côte d’Ivoire, nous avons noté une stabilisation de la notification autour de 21 000 de 2017 à 2019 (...). En 2020, le nombre de cas notifiés a chuté de 7 % et le taux de décès a connu une hausse de 2 % par rapport à 2019, à cause de la pandémie de la Covid-19 », a relevé Aka Aouélé.
Cette situation, a poursuivi le ministre, a conduit la tutelle à adopter des dispositions vigoureuses. Ces mesures prises très tôt, au mois de mai 2020, à travers un plan de contingence de réduction de l’impact de la Covid-19 ont porté sur la communication de proximité par les agents de santé communautaire et l’instauration de la confiance et de l’assurance par la distribution des outils de protection aux personnels de santé et aux malades.
A propos du thème de la 26e Jmlt : « L’horloge tourne », Aka Aouélé soutient qu’il a vocation à accentuer la pression sur les pouvoirs publics pour accélérer la mise en place des stratégies et des financements adéquats en vue de l’élimination de la tuberculose. « Le gouvernement tient à rassurer la population sur le respect des engagements de notre pays », a confié le ministre.
L’édition 2021 de la Jmlt sera meublée par des activités décentralisées dans toutes les régions sanitaires de la Côte d’Ivoire. Ces célébrations sont pilotées par les préfets de région et les directeurs régionaux et départementaux de la santé.