La case des mots : La recomposition des positions ?

L'échiquier politique est dominé par le positionnement des trois grands leaders et leurs partis. (Photo : DR)
L'échiquier politique est dominé par le positionnement des trois grands leaders et leurs partis. (Photo : DR)
L'échiquier politique est dominé par le positionnement des trois grands leaders et leurs partis. (Photo : DR)

La case des mots : La recomposition des positions ?

Le 18/01/21 à 18:29
modifié 18/01/21 à 18:29
L’opposition à la compétition n’est plus la position de l’opposition. Ses coalitions quittent la position de sédition. Ni sédition, ni transition, ni reddition.

La compétition passée a vu une opposition dans une position de transition et de sédition. L’imposition d’une transition ne fait pas une opposition. Une redéfinition des positions s’imposait pour cette compétition.

Une opposition, par définition, suppose sa prédisposition à la compétition. L’opposition joue donc sa partition en allant à la compétition. Et la compétition, l’opposition la fera en coalition.

Les oppositions, de tradition, pèchent par leur décomposition. Suspicions de compromissions n’installent souvent que fissions, scissions et inhibitions. La déperdition des munitions lors des expéditions vient de la juxtaposition des positions dans les oppositions.

La répartition des ambitions entre les coalitions évitera désormais les oppositions dans la même opposition. A condition que cette redéfinition des positions ne cache pas d’autres missions de partition.


Le 18/01/21 à 18:29
modifié 18/01/21 à 18:29