Le journaliste ivoirien, Jonas Baikeh, a remporté le Prix Alfred Dan Moussa du meilleur journaliste web. (Dr)
Le journaliste ivoirien, Jonas Baikeh, a remporté le Prix Alfred Dan Moussa du meilleur journaliste web. (Dr)
Presse numérique/Prix Alfred Dan Moussa et Samba Koné: Les meilleurs journalistes et entreprises de presse célébrés
La cérémonie de distinction de la 4e édition du prix Alfred Dan Moussa du meilleur journaliste web pour la promotion de la paix et de l’intégration dans l’espace de la Communauté économique des États de l’Afrique de l'ouest (Cedeao) et la 2e édition du prix Samba Koné de la meilleure entreprise de presse numérique a eu lieu le 19 décembre, au Palm Club hôtel d’Abidjan-Cocody.
Initié par le Réseau des professionnels de la presse en ligne en Côte d’Ivoire (Repprelci), le premier prix vise à amener les journalistes à des actes éditoriaux qui tournent le dos à la violence et favorisent la cohésion. Le second, lui, a pour but d’encourager des promoteurs à asseoir des sociétés légalement constituées, viables, qui innovent et épousent l’ère des nouvelles technologies.
Pour l’édition 2020, le lauréat du prix Alfred Dan Moussa, Jonas Baikeh, journaliste à l’infodrome.ci, a obtenu une moyenne de 15,33 sur 20.
Il a reçu un ordinateur portable avec une somme de 700.000 FCfa et un trophée. Il est suivi de Fofana Zoumana, qui a gagné un ordinateur portable et 300.000 FCfa. Ce web journaliste, intervenant à woroba.net, a obtenu une moyenne de 11,5 sur 20.
Le prix Samba Koné, lui, n’a pas été attribué. Comme indiqué par la présidente du jury, Marcelline Gneproust, les entreprises visitées ne remplissaient pas tous les critères pour remporter ce prix.
Cependant, à titre d’encouragement, deux médias en ligne nominés, notamment IvoireHandicapTV.net et Woroba.net ont reçu un ordinateur portable chacun. « Je suis très ému, très heureux de remporter un prix dédié à la promotion de la paix », a confié Jonas Baikeh, dont les reportages vidéos ont porté sur les récentes violences électorales liées à la présidentielle à Daoukro (centre-est) et à Toumodi (centre).
Le directeur de cabinet du ministre de la Communication et des Médias, Jean Martial Adou, représentant le ministre, a salué ces prix qui viennent « confirmer que la presse en ligne, dans l’écosystème, est engagée à respecter la règle de l’éthique et de la déontologie », a-t-il indiqué.
Toute chose qui ne pouvait que réjouir Lassina Sermé, président du Repprelci. Selon lui, ces deux prix portant les noms de ces deux icônes de la presse en Côte d’Ivoire, ont pour but de «pérenniser» leurs valeurs et riches expériences, tout en invitant les jeunes générations à s’inspirer d’eux.
SERGES N’GUESSANT
Pour l’édition 2020, le lauréat du prix Alfred Dan Moussa, Jonas Baikeh, journaliste à l’infodrome.ci, a obtenu une moyenne de 15,33 sur 20.
Il a reçu un ordinateur portable avec une somme de 700.000 FCfa et un trophée. Il est suivi de Fofana Zoumana, qui a gagné un ordinateur portable et 300.000 FCfa. Ce web journaliste, intervenant à woroba.net, a obtenu une moyenne de 11,5 sur 20.
Le prix Samba Koné, lui, n’a pas été attribué. Comme indiqué par la présidente du jury, Marcelline Gneproust, les entreprises visitées ne remplissaient pas tous les critères pour remporter ce prix.
Cependant, à titre d’encouragement, deux médias en ligne nominés, notamment IvoireHandicapTV.net et Woroba.net ont reçu un ordinateur portable chacun. « Je suis très ému, très heureux de remporter un prix dédié à la promotion de la paix », a confié Jonas Baikeh, dont les reportages vidéos ont porté sur les récentes violences électorales liées à la présidentielle à Daoukro (centre-est) et à Toumodi (centre).
Le directeur de cabinet du ministre de la Communication et des Médias, Jean Martial Adou, représentant le ministre, a salué ces prix qui viennent « confirmer que la presse en ligne, dans l’écosystème, est engagée à respecter la règle de l’éthique et de la déontologie », a-t-il indiqué.
Toute chose qui ne pouvait que réjouir Lassina Sermé, président du Repprelci. Selon lui, ces deux prix portant les noms de ces deux icônes de la presse en Côte d’Ivoire, ont pour but de «pérenniser» leurs valeurs et riches expériences, tout en invitant les jeunes générations à s’inspirer d’eux.
SERGES N’GUESSANT