Me Georges N'Goan, président de la Fédération ivoirienne de tennis. (DR)
Tennis (Assemblée générale ordinaire élective) : Me N’Goan candidat à sa succession
La Fédération ivoirienne de tennis (FIT) tiendra son Assemblée générale élective (Age) ce samedi 12 décembre 2020 à partir de 10h, au restaurant Aboussouan, à Treichville. Le conclave, initialement prévu le 11 avril 2020, avait été reporté à une date ultérieure, en raison de la crise sanitaire liée au Covid-19.
Tous les documents exigés par les textes avaient été déjà transmis aux différentes associations sportives membres de la FIT pour leur participation effective à cette assemblée générale. Malheureusement, à quelques jours de l’échéance, les mesures restrictives sanitaires prises par le gouvernement et les autorités sanitaires avaient contraint l’équipe dirigeante de la Fédération à la remettre à une date ultérieure.
Une seule candidature, celle du président sortant, Maître Georges N’Goan, avait été reçue par la direction générale de l’instance. Père des Écoles fédérales qui sont en train de redorer le blason de la petite balle jaune ivoirienne, Me N’Goan entend poursuivre la réalisation de son plan de relève du tennis ivoirien.
Un programme ambitieux dont l’objectif, au final, est de propulser la Côte d’Ivoire dans le gotha africain et international. Ce mandat que sollicite l’Avocat d’affaire mordu de la petite balle jaune devrait lui permettre de mettre l’accent sur le rayonnement de la Côte d’Ivoire à l’extérieur. Surtout en facilitant l’émergence au niveau mondial de Wilfried Eliakim Coulibaly.
Un jeune tennisman ivoirien parti de l’école fédérale de la Sotra en zone 4, présenté par tous les experts comme étant le futur du tennis africain. Avec lui, plusieurs jeunes talents ivoiriens et les performances (filles et garçons) sont visibles sur les différents tournois de jeunes à travers le continent.
Le tennis ivoirien, devenu un modèle pour plusieurs pays africains, se porte plutôt bien. Malgré la pandémie du Covid-19 qui a plombé toutes les fédérations sportives, les tennismen ivoiriens n’ont pas croisé les bras. Après plusieurs activités de formation réalisées par visioconférences avec notamment les instances internationales dans les domaines de l’arbitrage, du coaching et de l’administration (séminaires, réunions), le Fédération reprend progressivement ses compétitions sportives, pour le bonheur des amoureux de la discipline.
Ainsi, sous l’égide et la supervision technique de la FIT, le Central tennis club du Sofitel Hôtel Ivoire a organisé, du 8 au 29 novembre 2020, son premier tournoi dénommé « Openher ». Cette compétition de reprise a connu un grand succès avec plus de 158 participants de différentes nationalités.
Dans la catégorie pro, le tournoi a été remporté par Méda Joël du Burkina Faso, face au Béninois Monou Sylvestre sur le score de : 6/0, 4/6 et 6/3. Ensuite l’on a assisté à un tournoi de la charité, avec l’Ong TennisForAfrica (5 et 6 décembre), toujours sous l’égide et la supervision technique de la Fédération, au complexe Coucoue Lodge d’Assinie.
Pour terminer l’année en beauté, la FIT annonce deux autres compétitions de jeunes : le « 1er Masters des Jeunes » qui a débuté le 5 décembre et dont l’apothéose est prévue le 12 décembre. Et le « Tournoi Akwaba des Jeunes », du 21 au 26 décembre 2020, avec le soutien de l’Union Européenne, sur les courts de tennis du Sofitel Hôtel Ivoire.
Une seule candidature, celle du président sortant, Maître Georges N’Goan, avait été reçue par la direction générale de l’instance. Père des Écoles fédérales qui sont en train de redorer le blason de la petite balle jaune ivoirienne, Me N’Goan entend poursuivre la réalisation de son plan de relève du tennis ivoirien.
Un programme ambitieux dont l’objectif, au final, est de propulser la Côte d’Ivoire dans le gotha africain et international. Ce mandat que sollicite l’Avocat d’affaire mordu de la petite balle jaune devrait lui permettre de mettre l’accent sur le rayonnement de la Côte d’Ivoire à l’extérieur. Surtout en facilitant l’émergence au niveau mondial de Wilfried Eliakim Coulibaly.
Un jeune tennisman ivoirien parti de l’école fédérale de la Sotra en zone 4, présenté par tous les experts comme étant le futur du tennis africain. Avec lui, plusieurs jeunes talents ivoiriens et les performances (filles et garçons) sont visibles sur les différents tournois de jeunes à travers le continent.
Le tennis ivoirien, devenu un modèle pour plusieurs pays africains, se porte plutôt bien. Malgré la pandémie du Covid-19 qui a plombé toutes les fédérations sportives, les tennismen ivoiriens n’ont pas croisé les bras. Après plusieurs activités de formation réalisées par visioconférences avec notamment les instances internationales dans les domaines de l’arbitrage, du coaching et de l’administration (séminaires, réunions), le Fédération reprend progressivement ses compétitions sportives, pour le bonheur des amoureux de la discipline.
Ainsi, sous l’égide et la supervision technique de la FIT, le Central tennis club du Sofitel Hôtel Ivoire a organisé, du 8 au 29 novembre 2020, son premier tournoi dénommé « Openher ». Cette compétition de reprise a connu un grand succès avec plus de 158 participants de différentes nationalités.
Dans la catégorie pro, le tournoi a été remporté par Méda Joël du Burkina Faso, face au Béninois Monou Sylvestre sur le score de : 6/0, 4/6 et 6/3. Ensuite l’on a assisté à un tournoi de la charité, avec l’Ong TennisForAfrica (5 et 6 décembre), toujours sous l’égide et la supervision technique de la Fédération, au complexe Coucoue Lodge d’Assinie.
Pour terminer l’année en beauté, la FIT annonce deux autres compétitions de jeunes : le « 1er Masters des Jeunes » qui a débuté le 5 décembre et dont l’apothéose est prévue le 12 décembre. Et le « Tournoi Akwaba des Jeunes », du 21 au 26 décembre 2020, avec le soutien de l’Union Européenne, sur les courts de tennis du Sofitel Hôtel Ivoire.