Tchologo : Les cultures maraîchères et vivrières, un levier pour résorber le chômage des jeunes

Le secteur des cultures maraîchères et vivrières font vivre aujourd'hui plus de 5 mille personnes dans la région du Tchologo. (DR)
Le secteur des cultures maraîchères et vivrières font vivre aujourd'hui plus de 5 mille personnes dans la région du Tchologo. (DR)
Le secteur des cultures maraîchères et vivrières font vivre aujourd'hui plus de 5 mille personnes dans la région du Tchologo. (DR)

Tchologo : Les cultures maraîchères et vivrières, un levier pour résorber le chômage des jeunes

Par (AIP)
Le 02/12/20 à 16:56
modifié 02/12/20 à 16:56
Les cultures maraîchères et vivrières peuvent résoudre l’épineux problème du chômage des jeunes dans la région du Tchologo, ont confié, mardi 1er décembre, les responsables de la direction régionale de l’Agriculture et du Développement rural de Ferkessédougou et de l’Agence nationale d’appui au développement rural (Anader).

“Notre ministère est favorable à toutes les initiatives dans l’agriculture qui permettront d’insérer nos jeunes”, a fait savoir le chargé du suivi évaluation et contrôle des projets à la direction régionale de l’Agriculture et du Développement rural de Ferkessedougou, N’Cho Aka Romain.

Plusieurs pistes existent, selon l’Anader, pour créer des centres de formation agricoles dans la région, faire plusieurs retenues d’eau à partir des forages dans diverses localités de la région, a avancé un technicien, Kangouté Amara.

Le barrage de Sangopari, construit pour servir environ 30 hectares, permet aujourd’hui de faire travailler 315 familles sur 205 hectares. Sa pleine exploitation pourra permettre l’installation de nombreux jeunes de la région du Tchologo en quête d’emploi, a-t-il indiqué, révélant qu’un exploitant de la salade ou la laitue, sur un cycle de trois mois, peut engranger 500 000 F Cfa.

Les cultures maraîchères font vivre 5.573 personnes dans la région du Tchologo, signale-t-on.


Par (AIP)
Le 02/12/20 à 16:56
modifié 02/12/20 à 16:56