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Présidentielle 2020/Mission d’observation : Le CNDH déploie 1500 observateurs nationaux dans 7500 lieux de vote
Le Conseil national des droits de l’homme (Cndh), a présenté, ce vendredi 23 octobre 2020, à Abidjan, 2Plateaux les Vallons, sa mission d’observation du respect des droits de l’homme lors de l’élection du Président de la République prévue le 31 octobre 2020.
« Le Cndh déploiera 1500 observateurs nationaux dans 7500 lieux de vote à travers tout le pays, ce qui correspond à un taux de couverture de 70% de lieux de vote », a indiqué la présidente du Cndh. Ces observateurs sont composés des conseillers en droits de l’homme, du personnel d’appui du Cndh, des officiers des droits de l’homme, des membres de la société civile, des Ong, et des personnes ayant une expérience en matière d’observation électorale.
Mme Sangaré a souligné que cette mission d’observation se fera sous l’angle des droits de l’homme. « Le respect des droits de l’homme dans les processus électoraux est un indicateur d’élections libres, honnêtes, transparentes et démocratiques. Bien souvent et malheureusement, les élections sous nos tropiques donnent lieu à des atteintes et violations des droits de l’homme qui sont susceptibles d’entacher la légalité, la crédibilité et la sincérité du scrutin. Fort de ce constat, le Cndh a sollicité comme les années électorales passées une lettre d’accréditation de la Commission électorale indépendante (Cei) à l’effet de faire de l’observation électorale basée sur l’approche des droits de l’homme, en vue de monitorer les atteintes et violations des droits de l’Homme », a expliqué Mme Sangaré. Et d’ajouter : « Nous observons l'environnement qui doit faire en sorte que le citoyen accomplisse son devoir avec toutes les dispositions prise par la Commission électorale indépendante (Cei) ».
Il faut souligner que le Cndh a choisi de faire un déploiement de proximité. C’est dire que les observateurs seront déployés dans leur zone de résidence ou dans celle de leur domicile électoral. Selon la présidente du Cndh chaque observateur devra couvrir au moins cinq (5) lieux de vote. La coordination nationale de la mission est présidée par le président du Cndh. La mission dispose d’un secrétariat électoral composé de 14 membres ayant sous leur autorité 10 départements. Considéré comme le centre névralgique de cette mission, elle recevra toutes les informations électorales venant du terrain.
Poursuivant, elle a souligné que cette mission d’observation s’inscrit dans le cadre du dispositif mis en place le 11 juin 2020. Et ce, pour contribuer à la consolidation de la paix à travers la mise en œuvre du ‘‘principe des 3 P’’, à savoir, Prévention, Promotion et Protection des droits de l’homme.
C’est le lieu de souligner que le Cndh a conduit une série d’observations des différentes étapes de la phase pré-électorale (Rle, Affichage, le contentieux de la liste électorale et la distribution des cartes d’électeurs).
Pour la mission d’observation de la présidentielle, Mme Sangaré a indiqué que pendant trois (03) jours (les 30, 31 et 1er novembre 2020), ces observateurs seront déployés sur l’ensemble du territoire. Et d’affirmer : « Cette mission vise à :observer au respect des droits de l’homme avant, pendant et après le scrutin ; Faire remonter aux différentes coordinations (départementales-régionales-nationale) tous les cas de violations des droits de l’homme en lien avec l’élection du Président de la République ; Documenter toutes les entraves aux libertés politiques et aux droits électoraux ; notamment les intimidations, les empêchements de vote, les tentatives de fraude etc. ; Prendre part à la compilation dans les différents centres ». Pour cette d’observation, le Cndh bénéficie de l’appui de ses partenaires techniques et financiers que sont l’Oif et le Ned.
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Mme Sangaré a souligné que cette mission d’observation se fera sous l’angle des droits de l’homme. « Le respect des droits de l’homme dans les processus électoraux est un indicateur d’élections libres, honnêtes, transparentes et démocratiques. Bien souvent et malheureusement, les élections sous nos tropiques donnent lieu à des atteintes et violations des droits de l’homme qui sont susceptibles d’entacher la légalité, la crédibilité et la sincérité du scrutin. Fort de ce constat, le Cndh a sollicité comme les années électorales passées une lettre d’accréditation de la Commission électorale indépendante (Cei) à l’effet de faire de l’observation électorale basée sur l’approche des droits de l’homme, en vue de monitorer les atteintes et violations des droits de l’Homme », a expliqué Mme Sangaré. Et d’ajouter : « Nous observons l'environnement qui doit faire en sorte que le citoyen accomplisse son devoir avec toutes les dispositions prise par la Commission électorale indépendante (Cei) ».
Il faut souligner que le Cndh a choisi de faire un déploiement de proximité. C’est dire que les observateurs seront déployés dans leur zone de résidence ou dans celle de leur domicile électoral. Selon la présidente du Cndh chaque observateur devra couvrir au moins cinq (5) lieux de vote. La coordination nationale de la mission est présidée par le président du Cndh. La mission dispose d’un secrétariat électoral composé de 14 membres ayant sous leur autorité 10 départements. Considéré comme le centre névralgique de cette mission, elle recevra toutes les informations électorales venant du terrain.
Poursuivant, elle a souligné que cette mission d’observation s’inscrit dans le cadre du dispositif mis en place le 11 juin 2020. Et ce, pour contribuer à la consolidation de la paix à travers la mise en œuvre du ‘‘principe des 3 P’’, à savoir, Prévention, Promotion et Protection des droits de l’homme.
C’est le lieu de souligner que le Cndh a conduit une série d’observations des différentes étapes de la phase pré-électorale (Rle, Affichage, le contentieux de la liste électorale et la distribution des cartes d’électeurs).
Pour la mission d’observation de la présidentielle, Mme Sangaré a indiqué que pendant trois (03) jours (les 30, 31 et 1er novembre 2020), ces observateurs seront déployés sur l’ensemble du territoire. Et d’affirmer : « Cette mission vise à :observer au respect des droits de l’homme avant, pendant et après le scrutin ; Faire remonter aux différentes coordinations (départementales-régionales-nationale) tous les cas de violations des droits de l’homme en lien avec l’élection du Président de la République ; Documenter toutes les entraves aux libertés politiques et aux droits électoraux ; notamment les intimidations, les empêchements de vote, les tentatives de fraude etc. ; Prendre part à la compilation dans les différents centres ». Pour cette d’observation, le Cndh bénéficie de l’appui de ses partenaires techniques et financiers que sont l’Oif et le Ned.
PLAN DE DEPLOIEMENT
N° | REGION | OBSERVATEURS-TRICES |
1 | ABIDJAN (District) | 190 |
2 | AGNEBY TIASSA | 35 |
3 | BAFING | 35 |
4 | BAGOUE | 25 |
5 | BELIER | 35 |
6 | BERE | 25 |
7 | BOUNKANI | 20 |
8 | CAVALY | 30 |
9 | FOLON | 10 |
10 | GBÊKÊ | 100 |
11 | GBOKLÊ | 20 |
12 | GÔH | 65 |
13 | GONTOUGO | 65 |
14 | GRANDS PONTS | 20 |
15 | GUEMON | 30 |
16 | HAMBOL | 40 |
17 | HAUT SASSANDRA | 100 |
18 | IFFOU | 35 |
19 | INENIE DJUABLIN | 30 |
20 | KABADOUGOU | 25 |
21 | LOH-DJIBOUA | 50 |
22 | MARAHOUE | 50 |
23 | LA ME | 25 |
24 | MORONOU | 25 |
25 | NAWA | 65 |
26 | N'ZI | 30 |
27 | PORO | 70 |
28 | SAN PEDRO | 50 |
29 | SUD COMOE | 30 |
30 | TCHOLOGO | 35 |
31 | TONKPI | 85 |
32 | WORODOUGOU | 30 |
33 | YAMOUSSOUKRO (District) | 20 |
TOTAL | 1500 |