Comme à la précédente édition, les femmes viendront des quatre coins du pays pour communier à Korhogo. (DR)
Comme à la précédente édition, les femmes viendront des quatre coins du pays pour communier à Korhogo. (DR)
Journée mondiale de la femme rurale: La ville de Korhogo accueille la célébration officielle le 12 octobre
« Femme rurale et sécurité alimentaire dans le contexte post Covid-19 », c’est autour de ce thème que se tiendront, du 8 au 12 octobre à Korhogo, les célébrations officielles de la Journée mondiale de la femme rurale. Occasion qui sera mise à profit par le Secrétariat d’Etat chargé de l’Autonomisation des femmes (SECAF) pour sensibiliser les femmes et l’ensemble de la communauté à la pérennisation de la chaîne agricole en situation post Covid-19.
En mettant en lumière le rôle important que jouent les femmes rurales dans la sécurité alimentaire et le développement rural, malgré la pandémie à coronavirus. Avec ses effets négatifs qui compliquent davantage la situation de la femme rurale.
La secrétaire d’État Myss Belmonde Dogo entend, à travers ces journées, sensibiliser les femmes et les partenaires techniques et financiers tant nationaux qu’internationaux à la pérennisation de la chaîne agricole depuis la production, la transformation jusqu’à la commercialisation dans un contexte de crise sanitaire.
Le gouvernement ivoirien a déjà annoncé la couleur en mettant la somme d’un milliard Fcfa à la disposition de l’Office d’aide à la commercialisation des produits vivriers (OCPV) pour aider les acteurs de la filière à faire face à la pandémie du coronavirus.
Ce fonds est une partie des 4,4 milliards FCFA du plan d’actions de l’État et 1,2 milliard F CFA de la Banque mondiale promis aux acteurs du vivrier pour atténuer l’impact de la Covid-19 sur la commercialisation de leurs productions.
Dans la même veine, l’État ivoirien a également mis en place le Fonds d’appui aux acteurs du secteur informel (FASI), doté d’un montant de 100 milliards de F CFA. L’objectif principal de ce fonds est de disposer d’un cadre cohérent et structuré de financement et d’accompagnement des acteurs du secteur informel dont les activités sont fortement impactées par les mesures gouvernementales de lutte contre la propagation de la maladie à coronavirus.
Ce sont donc 1 700 milliards qui ont été débloqués par le gouvernement au travers du Plan de soutien économique, social et humanitaire, mis en place en vue d'aider les entreprises et les ménages à faire face aux baisses de revenus liées à cette pandémie. En plus du fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (Fafci), piloté par la Première dame Dominique Ouattara, qui permet aux femmes non éligibles aux systèmes de financement bancaire classique de bénéficier de crédit sans caution, sans aval, ni garantie.
Célébrée chaque année le 15 octobre à travers le monde, l’édition 2020 de la Journée mondiale de la femme rurale va se tenir en Côte d’Ivoire le 12 du même mois. Et ce, en raison du calendrier électoral dont la date du 15 octobre coïncide avec le début de la campagne présidentielle. L’édition 2019 a eu lieu dans la ville de Zoukougbeu, dans la région du Haut Sassandra.
Instituée par la résolution 62/136 du 18 décembre 2007 de l’Assemblée Générale des Nations unies, la Journée mondiale de la femme rurale se présente comme une tribune de reconnaissance des mérites et de l’apport considérable des femmes rurales au développement socio-économique de leurs pays. Mais également comme une occasion pour sensibiliser l’opinion publique à la nécessité de mettre en œuvre des actions plus concrètes en vue d’améliorer les conditions de vie et de travail de ces femmes.
La secrétaire d’État Myss Belmonde Dogo entend, à travers ces journées, sensibiliser les femmes et les partenaires techniques et financiers tant nationaux qu’internationaux à la pérennisation de la chaîne agricole depuis la production, la transformation jusqu’à la commercialisation dans un contexte de crise sanitaire.
Le gouvernement ivoirien a déjà annoncé la couleur en mettant la somme d’un milliard Fcfa à la disposition de l’Office d’aide à la commercialisation des produits vivriers (OCPV) pour aider les acteurs de la filière à faire face à la pandémie du coronavirus.
Ce fonds est une partie des 4,4 milliards FCFA du plan d’actions de l’État et 1,2 milliard F CFA de la Banque mondiale promis aux acteurs du vivrier pour atténuer l’impact de la Covid-19 sur la commercialisation de leurs productions.
Dans la même veine, l’État ivoirien a également mis en place le Fonds d’appui aux acteurs du secteur informel (FASI), doté d’un montant de 100 milliards de F CFA. L’objectif principal de ce fonds est de disposer d’un cadre cohérent et structuré de financement et d’accompagnement des acteurs du secteur informel dont les activités sont fortement impactées par les mesures gouvernementales de lutte contre la propagation de la maladie à coronavirus.
Ce sont donc 1 700 milliards qui ont été débloqués par le gouvernement au travers du Plan de soutien économique, social et humanitaire, mis en place en vue d'aider les entreprises et les ménages à faire face aux baisses de revenus liées à cette pandémie. En plus du fonds d’appui aux femmes de Côte d’Ivoire (Fafci), piloté par la Première dame Dominique Ouattara, qui permet aux femmes non éligibles aux systèmes de financement bancaire classique de bénéficier de crédit sans caution, sans aval, ni garantie.
Célébrée chaque année le 15 octobre à travers le monde, l’édition 2020 de la Journée mondiale de la femme rurale va se tenir en Côte d’Ivoire le 12 du même mois. Et ce, en raison du calendrier électoral dont la date du 15 octobre coïncide avec le début de la campagne présidentielle. L’édition 2019 a eu lieu dans la ville de Zoukougbeu, dans la région du Haut Sassandra.
Instituée par la résolution 62/136 du 18 décembre 2007 de l’Assemblée Générale des Nations unies, la Journée mondiale de la femme rurale se présente comme une tribune de reconnaissance des mérites et de l’apport considérable des femmes rurales au développement socio-économique de leurs pays. Mais également comme une occasion pour sensibiliser l’opinion publique à la nécessité de mettre en œuvre des actions plus concrètes en vue d’améliorer les conditions de vie et de travail de ces femmes.