
La secrétaire d’État auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’homme chargée des Droits de l’homme, Aimée Zebeyoux.
La secrétaire d’État auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’homme chargée des Droits de l’homme, Aimée Zebeyoux.
Encadrement des marches: Le gouvernement ivoirien dément les accusations d’Amnesty international
Le gouvernement a apporté des éclaircissements après le rapport d’Amnesty International, dans un communiqué signé de la secrétaire d’État auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’homme chargée des Droits de l’homme, Aimée Zebeyoux.
Selon le texte, les forces de défense et de sécurité veillent au strict respect des standards internationaux et nationaux en matière d’encadrement des marches.
Par conséquent, l’encadrement des manifestations d’opinion sur la voie publique est assuré exclusivement par le ministère de la Sécurité qui déploie des membres des forces de l’ordre et non des personnes « non officielles », mentionne la déclaration.
« Le gouvernement oppose un démenti formel aux allégations tendancieuses d’Amnesty International et condamne fermement ces accusations non fondées qui tendent à faire croire que la police nationale collabore avec des groupes d’hommes armés n’ayant reçu aucune formation à cet effet, en violation des procédures en vigueur en Côte d’Ivoire », peut-on lire dans le communiqué.
Toutefois, le gouvernement rappelle qu’il est et demeure respectueux des droits de l’homme, notamment la liberté d’expression, la liberté d’opinion et la liberté de réunion, qui sont garanties à tous et qui doivent s’exercer dans le strict respect de la loi, des droits d’autrui, de la sécurité nationale et de l’ordre public, conformément aux dispositions de l’article 20 de la Constitution.
Il déplore les pertes en vie humaine et les dégâts matériels engendrés par les manifestations, présente ses condoléances aux familles des victimes et souhaite un prompt rétablissement aux blessés.
Il encourage les Organisations non gouvernementales nationales et internationales de protection, de promotion et de défense des droits de l’homme à mettre tout en œuvre pour élaborer des rapports factuels et circonstanciés dans le suivi de la situation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire.
Pour rappel, dans un communiqué de presse publié le 18 août, l’Organisation non gouvernementale, Amnesty International, affirmait que « (...) des policiers ont apparemment permis à des groupes d’hommes, qui étaient pour certains, armés de machettes et de gros bâtons d’attaquer des manifestants (...) ».
HERVE ADOU
Par conséquent, l’encadrement des manifestations d’opinion sur la voie publique est assuré exclusivement par le ministère de la Sécurité qui déploie des membres des forces de l’ordre et non des personnes « non officielles », mentionne la déclaration.
« Le gouvernement oppose un démenti formel aux allégations tendancieuses d’Amnesty International et condamne fermement ces accusations non fondées qui tendent à faire croire que la police nationale collabore avec des groupes d’hommes armés n’ayant reçu aucune formation à cet effet, en violation des procédures en vigueur en Côte d’Ivoire », peut-on lire dans le communiqué.
Toutefois, le gouvernement rappelle qu’il est et demeure respectueux des droits de l’homme, notamment la liberté d’expression, la liberté d’opinion et la liberté de réunion, qui sont garanties à tous et qui doivent s’exercer dans le strict respect de la loi, des droits d’autrui, de la sécurité nationale et de l’ordre public, conformément aux dispositions de l’article 20 de la Constitution.
Il déplore les pertes en vie humaine et les dégâts matériels engendrés par les manifestations, présente ses condoléances aux familles des victimes et souhaite un prompt rétablissement aux blessés.
Il encourage les Organisations non gouvernementales nationales et internationales de protection, de promotion et de défense des droits de l’homme à mettre tout en œuvre pour élaborer des rapports factuels et circonstanciés dans le suivi de la situation des droits de l’homme en Côte d’Ivoire.
Pour rappel, dans un communiqué de presse publié le 18 août, l’Organisation non gouvernementale, Amnesty International, affirmait que « (...) des policiers ont apparemment permis à des groupes d’hommes, qui étaient pour certains, armés de machettes et de gros bâtons d’attaquer des manifestants (...) ».
HERVE ADOU