Présidentielle 2020 : Aimée Zebeyoux prône la préservation de la paix

Mme Aimée Zebeyoux, secrétaire d'Etat chargée des Droits de l'Homme. (DR)
Mme Aimée Zebeyoux, secrétaire d'Etat chargée des Droits de l'Homme. (DR)
Mme Aimée Zebeyoux, secrétaire d'Etat chargée des Droits de l'Homme. (DR)

Présidentielle 2020 : Aimée Zebeyoux prône la préservation de la paix

Le 05/08/20 à 20:12
modifié 05/08/20 à 20:12
Échanger sur la situation des Droits de l’homme en Côte d’Ivoire, en vue de déterminer des actions à mener en vue d’échéances électorales apaisées. Tel est l’objectif que vise la rencontre organisée hier entre le secrétariat d’Etat chargé des Droits de l’homme, le Conseil national des Droits de l’homme et les Organisations des Droits de l’homme le mercredi 5 juillet, à Cocody.

« La préservation de la paix incombe à chacun d’entre nous. C’est dès maintenant que nous devons préserver notre bien commun : la paix dans notre pays. En prenant de bonnes décisions, en étant des vecteurs de rassemblement, pour laisser un pays stable, une nation vraie, celle de la patrie et de la vraie fraternité ».

A travers ces propos, la secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’homme, Aimée Zebeyoux, souligne bien qu’il apparaît « plus que primordial d’anticiper par tous les moyens sur les conflits susceptibles d’entacher cette élection présidentielle à venir afin de préserver les avancées enregistrées sur le front du développement et de la cohésion sociale ».

Elle a rappelé, à cette occasion, que les Droits de l’homme sont partie intégrante de la vision du Président de la République, Alassane Ouattara qui, soutient-elle, « a toujours montré son entière disponibilité et toute sa sollicitude quand il s’est agi de la paix par les Droits de l’homme ».

Pour Aimée Zebeyoux, les élections, en tant que mode de désignation par voie de suffrage d’un candidat à un poste ou une fonction, « sont un élément central de la démocratie ». Elles permettent, a dit la secrétaire d’Etat chargée des Droits de l’homme, « une transmission pacifique du pouvoir ».

Malheureusement, déplore-t-elle, « elles sont assez souvent marquées par des actes de violence et de violation des Droits de l’homme aux conséquences extrêmement graves ».

Les participants se sont appesantis sur le respect des droits de vote et le droit à la santé. Ils ont aussi et surtout pris l’engagement de sensibiliser les populations à la nécessité de s’accepter dans leurs différences en vue d’avoir une élection apaisée.


Le 05/08/20 à 20:12
modifié 05/08/20 à 20:12