Taekwondo : Les quatre mousquetaires ivoiriens au labo

Après quatre mois d’absence due au coronavirus, le taekwondo reprend progressivement ses droits en Côte d’Ivoire. (DR)
Après quatre mois d’absence due au coronavirus, le taekwondo reprend progressivement ses droits en Côte d’Ivoire. (DR)
Après quatre mois d’absence due au coronavirus, le taekwondo reprend progressivement ses droits en Côte d’Ivoire. (DR)

Taekwondo : Les quatre mousquetaires ivoiriens au labo

Le 29/07/20 à 12:24
modifié 29/07/20 à 12:24
Cheick Cissé (-80Kg), Ruth Gbagbi (-67 Kg), Seydou Gbané (+80Kg) et Charlène Traoré (+ 67 Kg) ont enfilé leur dobok. Après quatre mois d’inactivité, pour cause de la pandémie à coronavirus, les quatre Ivoiriens qualifiés pour les prochains Jeux olympiques de Tokyo ont repris le travail en vue de leur mise en forme.

Depuis le communiqué du Conseil national de sécurité (Cns) du 25 mai, autorisant la reprise progressive des activités sportives, ces athlètes qualifiés pour les Jeux olympiques de Tokyo travaillent sous la houlette de l’entraîneur national Me Jérôme Essapa. Une reprise des entraînements dans un environnement sanitaire précaire, qui commande de nouvelles attitudes.

Pour l’heure, tout est mis en œuvre afin d’éviter les contacts. « Il n’y a pas d’affrontement. L’accent est plutôt mis sur les techniques de combat. Car, il y a longtemps que les athlètes sont restés sans travailler véritablement », précise le Directeur technique national (Dtn), Me Jean-Jacques Niava. Qui rappelle que cette reprise se fait dans le strict respect des mesures barrières. A savoir le lavage des mains, le port du cache-nez, le respect de la distanciation, etc.

Selon le directeur technique national, la préparation des athlètes qualifiés pour les Jeux olympiques de Tokyo va monter crescendo. « Pour un début, nous mettons l’accent sur les techniques de combat afin de permettre aux représentants ivoiriens de se remettre progressivement dans le bain », poursuit Me Niava.

En attendant que toutes les mesures soient levées, Cheick Cissé, Seydou Gbané, Ruth Gbagbi et Charlène Traoré se retrouvent trois fois par semaine chez l’entraîneur national à Angré ou à l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs), à Marcory pour s’entraîner.


Le 29/07/20 à 12:24
modifié 29/07/20 à 12:24