Un boulevard dans la capitale marocaine (DR)
Ramadan/Maroc : Les "déplacements nocturnes" de 19h à 5h du matin interdits
Le ministère de l'Intérieur marocain a annoncé l'interdiction de tous les déplacements nocturnes toute la période du Ramadan, de 19h à 5h du matin.
Selon Média24, le terme "couvre-feu" n'a pas été utilisé dans le communiqué du ministère de l'Intérieur.
Pour cette interdiction, les déplacements à travers les différents moyens de transport seront interdits, sauf pour les personnes exerçant dans les secteurs indispensables et vitaux.
Les autorisations exceptionnelles de circulations délivrées par les autorités locales et les certificats de déplacement fournis par les secteurs public et privé ne seront pas valables pendant "le couvre-feu nocturne".
Les autres mesures de l'état d'urgence sanitaire (confinement, limitation des déplacements pendant la journée, le port obligatoire des masques...) restent en vigueur, précise la note.
Les autorités locales et les services sécuritaires veilleront à l'application des mesures de contrôle strict à l'endroit de quiconque se trouvant sur la voie publique, sous peine de poursuites judiciaires dans le cadre des dispositions du décret-loi relatif à l'état d'urgence sanitaire et aux procédures de sa déclaration, en particulier l'article 4.
Pour cette interdiction, les déplacements à travers les différents moyens de transport seront interdits, sauf pour les personnes exerçant dans les secteurs indispensables et vitaux.
Les autorisations exceptionnelles de circulations délivrées par les autorités locales et les certificats de déplacement fournis par les secteurs public et privé ne seront pas valables pendant "le couvre-feu nocturne".
Les autres mesures de l'état d'urgence sanitaire (confinement, limitation des déplacements pendant la journée, le port obligatoire des masques...) restent en vigueur, précise la note.
Les autorités locales et les services sécuritaires veilleront à l'application des mesures de contrôle strict à l'endroit de quiconque se trouvant sur la voie publique, sous peine de poursuites judiciaires dans le cadre des dispositions du décret-loi relatif à l'état d'urgence sanitaire et aux procédures de sa déclaration, en particulier l'article 4.