Guillaume Soro : «La décision de la Cour africaine des Droits de l’Homme et des peuples est historique»

La décision de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (Cadhp), selon Guillaume Soro, ne souffre d'aucune suspicion. (Dr)
La décision de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (Cadhp), selon Guillaume Soro, ne souffre d'aucune suspicion. (Dr)
La décision de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (Cadhp), selon Guillaume Soro, ne souffre d'aucune suspicion. (Dr)

Guillaume Soro : «La décision de la Cour africaine des Droits de l’Homme et des peuples est historique»

Le 23/04/20 à 16:24
modifié 23/04/20 à 16:24
L’ancien président de l’Assemblée nationale Guillaume Soro a réagi ce jeudi 23 avril 2020, suite à la décision de la Cour Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples (Cadhp), ordonnant l’Etat de Côte d’Ivoire à surseoir à l’exécution du mandat d’arrêt contre lui.

Pour Guillaume Soro, cette "décision est historique". « Elle (Ndlr: la Cadhp) reconnaît l'iniquité des poursuites engagées contre Guillaume Kigbafori Soro et les cadres, militants et dirigeants de Génération et peuples solidaires (Gps) ainsi que les cinq (5) députés du groupe parlementaire Rassemblement injustement incarcérés par le régime d'Abidjan », affirme l'ex-président de l'Assemblée nationale.

Et de poursuivre : « Quand la justice est indépendante, ses arrêts sont limpides et ne souffrent d'aucune suspicion. La victoire est toujours du côté de la justice ».

Il faut signaler qu’il est aussi demandé à l’Etat ivoirien de suspendre les mandats de dépôts décernés contre les autres requérants et les mettre en liberté ou permettre l’exercice plein et entier de leur droits politiques et civils. L’Etat doit également produire un rapport dans un délai de 15 jours sur les mesures prises en vue de leur exécution.

Le 23/04/20 à 16:24
modifié 23/04/20 à 16:24