Le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, Sidiki Diakité (DR)
Le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, Sidiki Diakité (DR)
Sidiki Diakité à propos des CNI: «De nouveaux centres d’enrôlement et de kits mobiles opérationnels»
Les Ivoiriens peuvent continuer de fréquenter les centres d'enrôlement pour l'obtention de la carte nationale d'identité. Le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, Sidiki Diakité l'a affirmé samedi dernier au journal de 20h de la Rti. "L'état fait obligation à chaque citoyen majeur de détenir une pièce nationale d'identité. L'état a aussi l'obligation de délivrer lesdites pièces".
Pour le ministre, donc interrompre l’enrôlement n’a pas de sens. Certes le contexte actuel est particulier. Mais le premier responsable de l’administration territoriale fait remarquer que « les services de l’état n’ont pas arrêté de fonctionner » malgré la crise sanitaire.
Débuté le 17 février dernier, l'opération d'enrôlement pour l’établissement des cartes nationales d’identité « avait connu un réel engouement. Les Ivoiriens impatients d'avoir leur carte nationale d'identité avaient pris d'assaut les centres d'enrôlement », a expliqué le ministre Sidiki Diakité.
On se souvient en effet des files interminables d'attente et aussi des plaintes, quant à la lenteur des agents commis à la tâche. Des réglages devraient être nécessairement faits.
Le ministre de l’Administration du territoire et de la décentralisation qui avait entendu ces plaintes avait pris des dispositions pour remédier aux failles. Formation des agents, augmentation des sites d'enrôlement. L'Office national de l'Etat civil et de l'identification (Oneci), la structure technique en charge de la production de la carte nationale d'identité avait aussi reçu un renforcement en matériel. Conséquence, les conditions étaient réunies pour un meilleur enrôlement, un déploiement plus intéressant de ses hommes. L'Oneci ainsi dopé, devrait atteindre sa vitesse de croisière.
Malheureusement, c’est à ce moment que le premier cas de Covid-19 a été enregistré en Côte d’Ivoire. L’opération d’enrôlement qui n’a cependant pas été arrêté, va être un peu plombée.
Aujourd’hui, le ministre Sidiki Diakité veut lui donner un second souffle. Question de notre consœur de la Rti, Marie-laure N'Goran : "n’y a-t-il pas risque de contamination sur les sites d’enrôlement ?" La réponse du ministre est bien incisive. « Non. Toutes les dispositions nécessaires à la protection des pétitionnaires et des agents ont été prises. Nous avons mis un point d’honneur à s’assurer qu’aucune personne ne court de risque dans les centres d’enrôlement. »
Le ministre Sidiki Diakité a expliqué que le lavage des mains, la distanciation et surtout « la désinfection systématique avant et après chaque enrôlement du matériel utilisé » seront appliqués dans chaque centre d’enrôlement.
Des centres qui vont aussi gagner en nombre et en équipements. En effet, l’Office va déployer d’importants moyens tant sur les sites fixes (qui seront démultipliés) qu’au niveau des kits mobiles. Et ce, sur toute l’étendue du territoire.
Débuté le 17 février dernier, l'opération d'enrôlement pour l’établissement des cartes nationales d’identité « avait connu un réel engouement. Les Ivoiriens impatients d'avoir leur carte nationale d'identité avaient pris d'assaut les centres d'enrôlement », a expliqué le ministre Sidiki Diakité.
On se souvient en effet des files interminables d'attente et aussi des plaintes, quant à la lenteur des agents commis à la tâche. Des réglages devraient être nécessairement faits.
Le ministre de l’Administration du territoire et de la décentralisation qui avait entendu ces plaintes avait pris des dispositions pour remédier aux failles. Formation des agents, augmentation des sites d'enrôlement. L'Office national de l'Etat civil et de l'identification (Oneci), la structure technique en charge de la production de la carte nationale d'identité avait aussi reçu un renforcement en matériel. Conséquence, les conditions étaient réunies pour un meilleur enrôlement, un déploiement plus intéressant de ses hommes. L'Oneci ainsi dopé, devrait atteindre sa vitesse de croisière.
Malheureusement, c’est à ce moment que le premier cas de Covid-19 a été enregistré en Côte d’Ivoire. L’opération d’enrôlement qui n’a cependant pas été arrêté, va être un peu plombée.
Aujourd’hui, le ministre Sidiki Diakité veut lui donner un second souffle. Question de notre consœur de la Rti, Marie-laure N'Goran : "n’y a-t-il pas risque de contamination sur les sites d’enrôlement ?" La réponse du ministre est bien incisive. « Non. Toutes les dispositions nécessaires à la protection des pétitionnaires et des agents ont été prises. Nous avons mis un point d’honneur à s’assurer qu’aucune personne ne court de risque dans les centres d’enrôlement. »
Le ministre Sidiki Diakité a expliqué que le lavage des mains, la distanciation et surtout « la désinfection systématique avant et après chaque enrôlement du matériel utilisé » seront appliqués dans chaque centre d’enrôlement.
Des centres qui vont aussi gagner en nombre et en équipements. En effet, l’Office va déployer d’importants moyens tant sur les sites fixes (qui seront démultipliés) qu’au niveau des kits mobiles. Et ce, sur toute l’étendue du territoire.