Secteur Coton et Anacarde : Les opportunités du secteur présentées au Sia

Le Dr Adama Couliblay, directeur général du Conseil coton-anacarde, exposant le potentiel du coton et de l'anacarde ivoirien. (DR)
Le Dr Adama Couliblay, directeur général du Conseil coton-anacarde, exposant le potentiel du coton et de l'anacarde ivoirien. (DR)
Le Dr Adama Couliblay, directeur général du Conseil coton-anacarde, exposant le potentiel du coton et de l'anacarde ivoirien. (DR)

Secteur Coton et Anacarde : Les opportunités du secteur présentées au Sia

Le 25/02/20 à 17:23
modifié 25/02/20 à 17:23
Le directeur général du Conseil du coton-anacarde, le docteur Adama Coulibaly, a exposé le 24 février, au stand de la Côte d'Ivoire, les opportunités dans le secteur coton-anacarde et invité les investisseurs à s’intéresser à la Côte d’Ivoire. Il a notamment indiqué que les réformes engagées dans la filière coton a permis d’augmenter la production.

Concernant l’anacarde, la Côte d’Ivoire attend 800 mille tonnes en 2020, consolidant ainsi son rang de premier producteur mondial de noix de cajou.

La bonne santé du coton et de l’anacarde ivoirien en fait des secteurs porteurs avec de nombreuses opportunités d’affaires. Création d’unités de filature, de tissage, de trituration, etc., sont des domaines où la demande d’investissement reste importante, selon le docteur Adama Couliblay. Il en est de même pour la noix de cajou dont la transformation est un défi que le gouvernement veut voir relevé à brève échéance.

Dans cette optique, l’Etat offre des facilités, notamment fiscales aux opérateurs économiques désireux d’investir dans la transformation de cette spéculation agricole.

Le conseil des ministres du 5 février a adopté un décret portant fixation du prix du kilogramme pour la campagne 2020 de la noix de cajou à 400 FCfa contre 375 FCfa pour la campagne 2019, soit une augmentation de 25 FCfa.

Le porte-parole du gouvernement, le ministre de la Communication et des Médias, Sidi Touré, a indiqué que pour cette campagne, ce sont environ 8000 tonnes qui sont attendues pour ce qui concerne la Côte d’Ivoire contre 7740 tonnes en 2019 et 6000 tonnes en 2018.


Le 25/02/20 à 17:23
modifié 25/02/20 à 17:23