Une vue des participants à l'atelier de présentation des études sur la valorisation des résultats de recherche scientifique et de l’état de l’écosystème entrepreneurial. (DR)
Une vue des participants à l'atelier de présentation des études sur la valorisation des résultats de recherche scientifique et de l’état de l’écosystème entrepreneurial. (DR)
Recherche scientifique : Le réseau SAE veut valoriser les résultats des recherches
Le réseau professionnel des Structures d’accompagnement de l’entrepreneuriat en Côte d’Ivoire (Sae-Ci) a organisé, en collaboration avec la Fondation Friedrich Naumann pour la liberté, un atelier de présentation des études sur la valorisation des résultats de recherche scientifique et de l’état de l’écosystème entrepreneurial, les 18 et 19 décembre 2019, à Abidjan-Cocody.
« L’objectif de cette étude commanditée par la Fondation Friedrich Naumann est de comprendre l’écosystème existant. Il y en a plusieurs. Il convient de les répertorier et les cartographier. Ce qui va permettre de comprendre les forces et les faiblesses des différents acteurs pour créer une synergie d’action », explique Magloire N’Dehi, chargé de Programmes à la Fondation Friedrich Naumann.
Au niveau de la recherche scientifique, le constat est qu’elle ne sert que dans les ouvrages universitaires, dans les mémoires ou thèses de Doctorat. Or la culture livresque ou un produit de recherche peut servir à créer des entreprises.
L’objectif de cette étude est de voir comment passer de la production scientifique à des produits économiques. L’étude a permis de faire l’état des lieux de l’écosystème existant en la matière mais surtout de proposer les différents modèles pour voir comment valoriser les produits de recherche pour en faire des projets d’entreprise grâce à la création d’une plateforme de rencontre entre les inventeurs et les entreprises.
Au niveau de l’entrepreneuriat, l’écosystème existe mais manque d’interconnexion entre les acteurs. Chacun évolue en vase-clos. L’étude révèle également que les startups ne bénéficient pas de financements des structures bancaires. Il faut donc trouver des modèles alternatifs mais là aussi il un manque de règlementation, autant de faiblesses à corriger.
Créé en novembre 2019, sous l’impulsion de la Fondation Friedrich Naumann, le réseau Sae-Ci, est une association professionnelle des structures d’accompagnement à l’entrepreneuriat. Il a pour mission d’assurer l’encadrement de l’écosystème entrepreneurial en Côte d’Ivoire.
Une correspondance de EY
Au niveau de la recherche scientifique, le constat est qu’elle ne sert que dans les ouvrages universitaires, dans les mémoires ou thèses de Doctorat. Or la culture livresque ou un produit de recherche peut servir à créer des entreprises.
L’objectif de cette étude est de voir comment passer de la production scientifique à des produits économiques. L’étude a permis de faire l’état des lieux de l’écosystème existant en la matière mais surtout de proposer les différents modèles pour voir comment valoriser les produits de recherche pour en faire des projets d’entreprise grâce à la création d’une plateforme de rencontre entre les inventeurs et les entreprises.
Au niveau de l’entrepreneuriat, l’écosystème existe mais manque d’interconnexion entre les acteurs. Chacun évolue en vase-clos. L’étude révèle également que les startups ne bénéficient pas de financements des structures bancaires. Il faut donc trouver des modèles alternatifs mais là aussi il un manque de règlementation, autant de faiblesses à corriger.
Créé en novembre 2019, sous l’impulsion de la Fondation Friedrich Naumann, le réseau Sae-Ci, est une association professionnelle des structures d’accompagnement à l’entrepreneuriat. Il a pour mission d’assurer l’encadrement de l’écosystème entrepreneurial en Côte d’Ivoire.
Une correspondance de EY