Pr Joseph Séka Séka, ministre de l'Environnement et du Développement durable. (DR)
Financements climatiques: Des acteurs nationaux renforcent leurs capacités
Un atelier s’est ouvert, hier, à Cocody Angré, en présence d’une cinquantaine de participants.
Le ministère de l’Environnement et du Développement durable, en partenariat avec la Banque Africaine de développement (Bad) a organisé, hier, à Cocody Angré, un atelier pour renforcer les capacités des acteurs nationaux sur les nouvelles stratégies et pratiques en matière de conception, de gestion de projets et de mobilisation de financements climatiques.
Cette rencontre de deux jours, enregistre la présence d’une cinquantaine de participants issus des différents ministères, des institutions de la république, du secteur bancaire, ainsi que des organisations non gouvernementales.
A l’ouverture des travaux, Naïda Mohamed, Coordonnatrice du Fonds pour le changement climatique en Afrique a relevé l’opportunité de cet atelier qui, vise selon elle , d’une part, de permettre à la Côte d’Ivoire d’accéder directement à un financement climatique avec un appui des institutions internationales. Et d’autre part, de renforcer les capacités nationales.
En outre, Naïda Mohamed, a souhaité que ce projet soit une réussite pour la Côte d’Ivoire et un modèle pour toute l’Afrique.
Le coordonnateur par intérim du Programme National du Changement Climatique (Pncc) Jean Douglas Anaman, a pour sa part souligné que le Fonds pour le Changement climatique en Afrique (Fcca) crée en 2014, est composé de 4 donateurs dont l’Allemagne, la Belgique, l’Italie, ainsi que la Bad qui participe au financement du budget administratif et des ressources humaines.
A l’en croire, le Fcca soutient de nombreux pays africains dans le renforcement de leurs capacités pour leur permettre d’accéder à des fonds climatiques internationaux.
Pendant deux jours, les participants vont s’instruire autours de sept modules. Il s’agit entre autres de la méthodologie de formulation de note conceptuelle pour soumission au Fonds vert pour le climat ; l’élaboration une ‘’théorie du changement’’, les critères d’investissement et les processus au sein du Fonds vert pour le climat.
Cette rencontre de deux jours, enregistre la présence d’une cinquantaine de participants issus des différents ministères, des institutions de la république, du secteur bancaire, ainsi que des organisations non gouvernementales.
A l’ouverture des travaux, Naïda Mohamed, Coordonnatrice du Fonds pour le changement climatique en Afrique a relevé l’opportunité de cet atelier qui, vise selon elle , d’une part, de permettre à la Côte d’Ivoire d’accéder directement à un financement climatique avec un appui des institutions internationales. Et d’autre part, de renforcer les capacités nationales.
En outre, Naïda Mohamed, a souhaité que ce projet soit une réussite pour la Côte d’Ivoire et un modèle pour toute l’Afrique.
Le coordonnateur par intérim du Programme National du Changement Climatique (Pncc) Jean Douglas Anaman, a pour sa part souligné que le Fonds pour le Changement climatique en Afrique (Fcca) crée en 2014, est composé de 4 donateurs dont l’Allemagne, la Belgique, l’Italie, ainsi que la Bad qui participe au financement du budget administratif et des ressources humaines.
A l’en croire, le Fcca soutient de nombreux pays africains dans le renforcement de leurs capacités pour leur permettre d’accéder à des fonds climatiques internationaux.
Pendant deux jours, les participants vont s’instruire autours de sept modules. Il s’agit entre autres de la méthodologie de formulation de note conceptuelle pour soumission au Fonds vert pour le climat ; l’élaboration une ‘’théorie du changement’’, les critères d’investissement et les processus au sein du Fonds vert pour le climat.