Mes vérités : Surprenantes critiques
Jeudi, le suranné, lors de la signature du manifeste de la nouvelle plateforme mise en place pour contrer l’alliance des Houphouétistes, est revenu sur la gestion des dirigeants actuels qu’il a qualifiée de désastreuse.
C’est vrai, nous ne pouvons pas dire que tout est rose, parce qu’aucune œuvre humaine n’est parfaite, mais regardons la réalité en face. De nombreux pas ont été posés vers le développement sous le Président Alassane Ouattara. Sur l’économie ivoirienne, voici ce que disait, en juillet, la Banque mondiale : ‘’ L’économie ivoirienne continue de rester dynamique depuis le début de l’année avec l’une des croissances les plus rapides du continent qui devrait atteindre 7,2 % en 2019 contre 7,4% en 2018.
C’est la conclusion de la neuvième édition du rapport sur la situation économique en Côte d’Ivoire publiée, aujourd’hui, par la Banque mondiale. Cette bonne performance s’explique essentiellement par le retour du dynamisme du secteur privé qui avait ralenti en 2016 et 2017 et qui constitue, à nouveau, le principal moteur de croissance du pays’’.
Jacques Morisset, chef des programmes de la Banque mondiale en Côte d’Ivoire et principal auteur du rapport disait : ‘’À court et moyen terme, les perspectives restent solides avec, entre autres, une inflation maîtrisée, un déficit public qui devrait se redresser et une augmentation progressive des exportations’’. Où est le désastre dans l’économie ivoirienne ? Le Président Ouattara et son équipe sont à la tâche pour offrir le meilleur aux Ivoiriens et réduire la pauvreté.
Les filets sociaux qui vont s’étendre, dans les prochains mois, à toute la Côte d’Ivoire sont le signe évident de la lutte acharnée du Chef de l’État et de son gouvernement. Ces derniers se sont également engagés dans de vastes travaux de confort. Des routes ont été réhabilitées, de nouvelles construites, l’électricité, comme on peut le constater, n’est plus un luxe.
Partout, même dans les hameaux les plus reculés, des ampoules scintillent. L’eau potable coule à flots. En huit ans, Ouattara et son équipe ont fait plus que tous les régimes qui se sont succédé en Côte d’Ivoire. Y compris les différents gouvernements d’Houphouët-Boigny.
N’ayons pas peur de le dire. Le Vieux lui-même, de son vivant, disait : « D’autres personnes viendront et feront mieux que moi. » C’est le cas aujourd’hui. Avec quels yeux regardons-nous la Côte d’Ivoire ? Haine, quand tu nous tiens !
Le suranné qui risque d’entrer dans l’histoire par la plus petite des portes a-t-il fait mieux ? Question, comme dirait l’autre. Que peut-il apporter aujourd’hui à la Côte d’Ivoire, après son bug en 1999 qui l’a empêché de faire basculer son système dans l’année 2000 ? Son logiciel est-il aujourd’hui compatible à la nouvelle matrice qui régente le monde ? Celui qui est passé maître dans l’art de lancer des vannes a-t-il la lucidité nécessaire pour diriger un pays ?
Un autre qui cherche son chemin semble être perdu sur le vieux continent. Il a peut-être oublié que le gros des électeurs se trouve en Côte d’Ivoire. Il a aussi sûrement oublié que le spécialiste des réseaux en Occident dirige actuellement la Côte d’Ivoire. Pour être un observateur averti, nous savons de quoi nous parlons.
L’homme au Gps ne peut en aucun cas ébranler le pouvoir de l’extérieur. Il le sait. Point besoin de rappeler l’épisode de décembre 2015. Il sait comment il a été sauvé.