Les participants à l’atelier sont issus de différents ministères, organisations et institutions. (Ph: Dr).
Les participants à l’atelier sont issus de différents ministères, organisations et institutions. (Ph: Dr).
Lutte contre le changement climatique : La Fao et ses partenaires préparent un vaste programme "Villes vertes"
Les parties prenantes au projet d’élaboration du "Programme territorial Villes vertes sensible au genre en Côte d’Ivoire", du District autonome d’Abidjan, ont pris part le 24 septembre 2024, à Cocody, à un atelier de restitution et de validation sur le sujet.
Initiée par la représentation nationale de l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao), la rencontre a réuni une soixantaine de participants issus de différents ministères, des Districts autonomes du pays, d’institutions nationales et internationales. L’objectif était de faire une consultation des parties prenantes pour la finalisation de la rédaction du programme "Villes vertes", et d’une stratégie de financement et de mise en œuvre.
A l’ouverture de cet atelier, Dr Kanga Kouamé, Assistant du Représentant de la Fao, chargé des programmes, a expliqué que la Fao a soutenu techniquement et financièrement le District Autonome d’Abidjan pour l’élaboration d’un ‘’programme territorial villes vertes sensible au genre’’.
Deux consultants recrutés à cet effet, associés à une équipe composée des points focaux du District autonome d’Abidjan et de la représentation de la Fao en Côte d’Ivoire, ont sillonné certains Districts autonomes de Côte d’Ivoire pour recueillir leurs priorités, en matière d’agriculture et foresterie urbaine et péri-urbaine puis en économie circulaire.
« Au terme de cette mission, une étude de faisabilité d’un programme "Ville verte" au niveau national a été réalisée dans le cadre d’un projet de coopération technique avec la Fao », a-t-il poursuivi.
Ajoutant que la Fao entend utiliser ce document pour constituer une base de travail issue des réalités vécues dans les localités et en même temps qui prend en compte et décline la vision d’un développement durable de celles-ci, dans un futur très proche.
En attendant, il a appelé les populations et les Etats africains à revoir leur mode de production et de consommation des ressources et à privilégier des solutions basées sur la nature. Car dira-t-il, il ressort des études qu’à l’échelle du monde, les villes représentent 2% de la superficie des terres disponibles. Mais elles consomment plus de 75% des ressources naturelles disponibles et produisent plus de 50% de déchets.
Pour sa part, Léopold Akon, point focal "Villes vertes", représentant l’Institut de l'économie circulaire d'Abidjan du District autonome d’Abidjan, a indiqué que le "programme territorial Villes vertes sensible au genre en Côte d’Ivoire" vise à améliorer l’environnement urbain en resserrant les liens entre les villes et le monde rural et en renforçant la résistance des systèmes, des populations et des services urbains aux chocs extérieurs.
« Ce document pourra donc être utilisé et adressé à tous les guichets ouverts par la communauté internationale pour le financement de la lutte contre le changement climatique pour son financement », a-t-il poursuivi.
A l’ouverture de cet atelier, Dr Kanga Kouamé, Assistant du Représentant de la Fao, chargé des programmes, a expliqué que la Fao a soutenu techniquement et financièrement le District Autonome d’Abidjan pour l’élaboration d’un ‘’programme territorial villes vertes sensible au genre’’.
Deux consultants recrutés à cet effet, associés à une équipe composée des points focaux du District autonome d’Abidjan et de la représentation de la Fao en Côte d’Ivoire, ont sillonné certains Districts autonomes de Côte d’Ivoire pour recueillir leurs priorités, en matière d’agriculture et foresterie urbaine et péri-urbaine puis en économie circulaire.
« Au terme de cette mission, une étude de faisabilité d’un programme "Ville verte" au niveau national a été réalisée dans le cadre d’un projet de coopération technique avec la Fao », a-t-il poursuivi.
Ajoutant que la Fao entend utiliser ce document pour constituer une base de travail issue des réalités vécues dans les localités et en même temps qui prend en compte et décline la vision d’un développement durable de celles-ci, dans un futur très proche.
En attendant, il a appelé les populations et les Etats africains à revoir leur mode de production et de consommation des ressources et à privilégier des solutions basées sur la nature. Car dira-t-il, il ressort des études qu’à l’échelle du monde, les villes représentent 2% de la superficie des terres disponibles. Mais elles consomment plus de 75% des ressources naturelles disponibles et produisent plus de 50% de déchets.
Pour sa part, Léopold Akon, point focal "Villes vertes", représentant l’Institut de l'économie circulaire d'Abidjan du District autonome d’Abidjan, a indiqué que le "programme territorial Villes vertes sensible au genre en Côte d’Ivoire" vise à améliorer l’environnement urbain en resserrant les liens entre les villes et le monde rural et en renforçant la résistance des systèmes, des populations et des services urbains aux chocs extérieurs.
« Ce document pourra donc être utilisé et adressé à tous les guichets ouverts par la communauté internationale pour le financement de la lutte contre le changement climatique pour son financement », a-t-il poursuivi.